Lors de sa rattachement ouverte à Cahors vendredi, Jean-Luc Mélenchon a dépouillé Rémi Branco, vice-président du District du Lot sur la matière de la ruralité.
Ce n’est pas tombé parmi l’esgourde d’un terne. Vendredi fête, en rattachement ouverte à Cahors, Jean-Luc Mélenchon a étrillé les élus socialistes locaux. Parmi eux : Rémi Branco, le vice-président du colloque départemental. À la rostre, le champion des Insoumis lit un législation de Rémi Branco, publié le 18 septembre parmi Libération : ” La gauche est arrivée 1 000 fois trop tard sur les déserts médicaux et le prix du carburant. Ce n’est pas normal qu’il n’y ait que le RN qui parle de bagnole et de fioul dans son programme”. Fin de la convocation. Remarque du boss de la France Insoumise, goguenard : ” Car le rural, ce qu’il aime, c’est qu’on lui parle de bagnole et de fioul “. L’intéressé n’a pas mesuré. Et c’est le moins que l’on puisse imputation. Ce dimanche, parmi une vidéocassette publiée sur son mémoire Twitter, Rémi Branco, a contre-attaqué.
” Tout part de l’une de ses déclarations, début septembre. Il est dans une manifestation à Paris et il déclare qu’il faut miser sur les quartiers populaires et la jeunesse, le reste on laisse tomber car on perd notre temps. J’étais assez choqué. Le reste on laisse tomber, c’est-à-dire toute une partie du pays, dont la ruralité”, confie le vice-président du District. Dans cette rostre, l’élu lotois explique que la vie familière des Lotois “a considérablement changé depuis plusieurs années avec la hausse du prix du carburant, la progression massive des déserts médicaux et le coût en général de la vie dont le prix du fioul qui a atteint des sommets “.
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Selon Rémi Branco, ” la gauche dont celle de Mélenchon a mis trop de temps à venir sur ces sujets. Je suis en colère parce qu’il minimise l’impact du prix du carburant mais ce n’est pas un sujet condescendant. Dans quel monde vit-il ? Par ailleurs, il se contredit en expliquant dans la même réunion publique que la différence entre la zone urbaine et la zone rurale c’est la mobilité”. Le immatriculation de Jean-Luc Mélenchon à Cahors vendredi fête ? Rien de encore ” qu’un tour de claquettes ” quant à l’élu pointé du rarement qui va récemment efforcer une programme collaborative quant à assembler intégraux les territoires. Un élu logement qui a toutefois diligent coutumier le organisateur de décampé de LFI sinon il accomplissait principalement au PS, parmi les années 2000. ” À ce moment-là, je n’étais pas complètement aligné avec lui mais il avait des engagements cohérents”, se souvient-il. Une doyen d’armoiries des décennies encore tard et revoilà les quelques vieux socialistes dos à dos. Irréconciliables ? Peut-être pas. ” Non Jean-Luc, on ne sera peut-être pas copains mais au moins on peut débattre “, conclut-il sa vidéocassette.
A anéantir ainsi :
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