Le inventaire vendanges découvert de la Syndicat Gardoise des Vignerons Indépendants et le Comité Départemental du Gard des Vignerons Coopérateurs d’Occitanie en existence du Préfet du Gard a eu carrefour ce lundi 14 octobre à Aimargues, au legs Valescure.
Il y avait abondance, ce lundi 14 octobre, au legs de Valescure à Aimargues à l’chance du bien-pensant “point vendanges” découvert de la société gardoise des Vignerons Indépendants et du commission départemental du Gard des Vignerons Coopérateurs d’Occitanie.
Syndicalistes, viticulteurs, abattis de la Chambre d’connaissance, politiques et représentants de l’Facture, lesquels Jérôme Bonnet, Préfet du Gard voyaient de la démarche. “Je suis présent car j’ai été invité”, sourit l’femme d’Facture. “Et parce que la viticulture est une partie intégrante de notre paysage et la profession la plus représentée dans l’agriculture gardoise. Je pense qu’aujourd’hui, il ne faut pas se contenter de trouver des solutions à courte échelle, mais au contraire, nous faut essayer de lui tracer un avenir.”
Toujours pas de évidence ou de fumigation en vue
Car en extérieurement de l’chance vers les vignerons de amener à eux agilité et à eux produits lesquels la gloire n’est comme à employer, ce rebut est le hasard de employer un inventaire sur les vendanges (maigres) de cette cycle, les primes à l’arrachis (lesquels les données ont été connues vendredi 11 octobre et vers auquel les intéressés ont un appointement vers remplis le classeur, NDLR), le ratage d’eau, et la collant paie… Autant de sujets qui secouent la boulot depuis de longs appointement et si, des réponses avaient accident frimousse d’existence modalités alors les importantes manifestations d’il y a 9 appointement, les résultats sur le emplacement sont éternellement invisibles.
D’éloigné comme le poste d’méditation à l’événement les vignerons se sont montrés fermement clairs sur à eux attentes : “Nous n’avons pas oublié les questions et les demandes syndicales formulées clairement depuis des mois et plus précisément lors des manifestations de février dernier. Nous sommes toujours dans l’attente de réponses concrètes, opérationnelles, tant pour nos exploitants que pour nos entreprises.”
“Les descentes dans la rue sont inéluctables”
“Nous attendons des pouvoirs publics des solutions pour que les efforts sociétaux demandés pour une production encore plus verte (BIO, HVE, …), et par conséquent plus coûteuse, ne soient pas les efforts de trop en voyant le consommateur-citoyen se détourner de nos produits au profit d’une production d’importation moins disante mais à prix bas. Nous attendons également un soutien moral pour notre mode de vie qui fait vivre des territoires, des familles, en gardant notre droit à produire des instants de joie et de convivialité autour d’une consommation responsable.”
Des constatations fortes libéralement relayées lorsque de ce inventaire d’station lorsque auquel les responsables viticoles n’ont pas tu à eux noires inquiétudes : “Nous recevons actuellement des appels de collègues au bord du désespoir qui ont tout perdu. Femme qui est partie face à la dégradation terrible des conditions de vie, pécule et économie et qui aujourd’hui sont pris à la gorge sans aucune solution de replis. Nous sommes très inquiets pour les mois à venir. À un moment nous ne pourrons plus tenir les troupes et on ne sait pas de quoi sont capables les gens acculés. Si cela perdure, les descentes dans la rue seront inéluctables “
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