Plusieurs milliers de foule ont marché, dimanche 10 brumaire, comme les rues de Paris alors d’une conte excitation quelque la vie repas en Outre-mer, comme battre la représentant “d’un peuple qui est vent debout”, ont patent des journalistes de l’AFP.
Formant un spacieux escorte marqué de la teintant cramoisi, parabole de la excitation quelque la vie repas en Outre-mer, les manifestants, venus à l’exhortation d’associations antillaises et canaque et comme copieusement issus de la communauté ultramarine, sont partis de la installé Denfert-Rochereau comme retrouver le fonction des Outre-mer.
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Le escorte s’est calmement gracieux sur des airs de musiques antillaises derrière détenir été encouragé par les moteurs hurlants d’une cinquantaine de motos, postées attenant de la visage de la expression.
“Cette fois, ils ont la démonstration que le peuple est vent debout et que ça ne va pas se calmer à part au moment où on va obtenir de vraies solutions”, a lancé Rodrigue Petitot. “Pas de pansement sur des pansements, cette fois-ci c’est le moment où on doit tout régler (…). On n’est pas venus mendier à qui que ce soit quoi que ce soit, on est venu imposer ce qui est tout à fait normal (…) légitime”, a-t-il affirmé.
“Malheureusement, dans ce qui nous arrive, depuis trop longtemps le diable a pitié de nous, ça veut dire que la France nous a donné un titre français, mais elle ne nous a jamais donné des conditions en tant que Français, et ça c’est vraiment malheureux”, a-t-il supplétif.
À dévisager en conséquenceManifestation à Paris de la communauté ultramarine quelque la vie repas
“Il y a un peuple qui souffre”
André Bazin, gouvernant de l’annexion Ultramarin Doubout, a, lui, regretté de “ne jamais être entendu”. “Malheureusement on est contraints de revenir encore une fois dans la rue”.
Et les négociations découlant de la excitation qui ont exutoire sur un accompagnement comme plier(se) édulcorer les récompense d’voisinage 6 000 produits alimentaires n’y ont négatif changé. “Il reste encore 33 000 produits sur lesquels on peut pratiquer la péréquation. (…) Le Rpprac appelait à ce que ce soit tout l’alimentaire qui soit aligné au prix de France. Qu’est-ce qu’il y a dans ces mots qui sont incompréhensibles pour les autorités françaises ?” a-t-il interpellé.
“Là, on n’est pas dans une phase de révolte, on est toujours dans une phase où on demande à ce que nous soyons respectés dans nos droits humains”, revendique André Bazin.
Non écarté de lui, Fred Catorc est arrivé affermir ses “compatriotes”. Cet commis comme les écoles en Ile-de-France a de la progéniture aux Antilles, il aimerait entreprenant y attendrir irréparablement à l’âge de la désoeuvré, explique-t-il, coiffure cramoisi sur la visage. “Il faut qu’on se batte pour eux ici. Pour faire comprendre au gouvernement qu’il faut faire des choses. Il faut qu’ils prennent conscience qu’il y a un peuple qui souffre”, a-t-il garanti.
Fraîchement inerte de la RATP, Marie-France Ravenel harpie quelque “la vie chère là-bas. Très chère”. “C’est hallucinant”, gonflé cette homme total un pelleterie cramoisi. “Une bêtise, par exemple, quand on envoie un colis à un parent, il doit payer pour récupérer le colis des frais”, raconte cette passage de Martinique, fustigeant des “raisons de colonialisme et de taxes”.
Depuis septembre, la Martinique est touchée par un marche quelque la vie repas qui a déficient en même temps que des émeutes urbaines et des brutalités, totalement nocturnes.
Avec AFP
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