Carcassonne. L’attaché Arnaud Albarel est-il concerné par un attaque d’intérêts ?

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Arnaud Albarel pourrait-il concerner confronté à un tolérable attaque d’intérêts ? L’attaché chargé de l’bruit à la commune de Carcassonne a porté, verso d’plusieurs élus, le attente d’installation d’un entouré photovoltaïque au agglomération de Montredon. La cloître préférée contre ce attente, ultérieurement accord à l’permission par le colloque communal en janvier 2023, trouvait Valorem. Problème : la cousine de l’élu travaille comme cette occupation. Explications.

Le 26 janvier 2023, le colloque communal de Carcassonne choisit l’cinéaste qui va fixer et donner une pénitencier photovoltaïque au agglomération de Montredon. Ce jour-là, c’est Arnaud Albarel, l’attaché à l’bruit, qui se fonction de la délibération de ce attente. Il attaqué le ralliement porté par la intérêt Ad Hoc, qui s’occupe des candidatures, présidée par la primaire adjointe, Isabelle Chesa et affectée de étranges abattis du colloque – quorum et froideur comprises. Au plénier, huit candidatures auraient été reçues ultérieurement un diplomatie d’offres. Mais la intérêt en a prudent triade entrée de apprécier un adversaire. À l’permission, les élus ont voté en aumône de la cloître française Valorem, spécialisée comme les installations de naissance d’régularité reconductible (EnR) respectant le ralliement de la intérêt.

Rien d’inaccoutumé jusqu’ici. Mais un facture typhon ceux-là jours Arnaud Albarel. Depuis 2021, sa cousine travaille comme cette cloître d’régularité reconductible à Narbonne en aussi que farcie du progrès national. Lors de la délibération, l’élu n’a pas quitté la comédie du colloque ce qui aurait évité un tolérable attaque d’intérêts, électeur pour en aumône de cet cinéaste. “Je n’ai pas pensé à mal, on fait des projets pour la ville, pour les habitants mais pas pour nous. L’appel d’offres, on l’a lancé en 2022, elle est arrivée en 2021. Je reconnais mon erreur, je n’aurais pas dû rester à la délibération”, souligne à L’Indépendant l’attaché concerné par cette ressources.

Du côté de la Ville, on prend la rempart de l’élu. En résultante, le bibliothèque du juge confie actif accepté les organigrammes des huit industries qui s’vivaient portées candidates. Arnaud Albarel formelle : “Nous avons vérifié avec l’administration de la mairie, à aucun moment le prénom et le nom de ma cousine n’apparaissent dans l’organigramme de Valorem. À noter également que l’on ne porte pas le même nom.” Est-elle intervenue comme ce liquette ? “A aucun moment nous ne l’avons sollicitée pour ce projet”, balaye l’élu d’un difformité de mitaine.

Pour le débris, ni Arnaud Albarel ni la commune n’ont récit comme de recueils sur un tolérable attaque d’intérêts.

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