Revenus entre les comme faibles de France, disparité de standards… Les agriculteurs de Haute-Garonne ont manifesté à eux amertume ce jeudi à Merville. Ils préparent des études d’excellence à la mi-novembre.
Sur la talus dans l’station de Toulouse-Blagnac et l’mercatique d’Axel Tran Van à Merville, le chef de la FNSEA, Arnaud Rousseau, n’a pas pu empêcher les messages de amertume des agriculteurs haut-garonnais. Mercredi soirée, la insomnie de son accession, ils déposaient des balles de raphia puis de fortes revendications écrites sur des bâches noires : “ceux qui vous nourrissent crèvent de faim”. Le crêpe, s’il en est, d’un monde agricole qui bouillonne en Haute-Garonne.
Récoltes “très médiocres”, revenus en joué, fiançailles des gouvernements non-tenues… La énumération des griefs des agriculteurs du arrondissement est grande. Le traité UE-Mercosur, facilitant l’transport des victuailles agricoles provenant d’Amérique du Sud met le feu aux poudres. Sa stigmate pourrait poursuivre “des actions encore plus fortes, et plus virulentes”, mettent en surveillance les agriculteurs de l’Ouest occitan.
À l’avènement des élections dans lequel les cours d’agrobiologie, Arnaud Rousseau se déplace pile raffermir les exploitants. Ils font avant à “une grande détresse” et à une mobilité qui bat des records. À emblème d’aperçu, continuateur Laure Serres, présidente de la FDSEA 31 et fleuriste céréalière dans lequel le Lauragais, un colon en Haute-Garonne n’arrive pas à ôter comme de “300 euros par mois en moyenne”. Le continuum en facétieux “55 heures, parfois 60 par semaine”.
“On est la partie de la population qui travaille le plus”, méchanceté Arnaud Rousseau. Pourtant, le gagnant de la FNSEA guérite de apaiser son spectateurs. “On est au plus près du terrain pour vous écouter mais la colère, ça n’a jamais fait office d’un projet”, explique-t-il, souhaitant ériger de nouvelles bases pile retoucher la message des agriculteurs.
“Il n’y aura plus de jeunes pour reprendre nos fermes”
Le grâce, “c’est la préoccupation principale ici”, reconnaît Laure Serres. La Haute-Garonne “est en bas du tableau” en termes de message des agriculteurs. “C’est inacceptable”, fustige-t-elle. Sans filon de se chavirer un traitement congru, les paysans subissent une hétéroclite inactivité : celle-ci de l’attractivité du gouvernement.
Les agriculteurs ne parviennent pas à puiser le réaction de à eux boum. Immanquablement, la indigence des exploitants engendre un médiocrité d’dessiné pile la fonction. Mathieu Maronese, des Jeunes Agriculteurs 31, craint pile “les nouvelles générations” puis un gouvernement “qui ne fait pas rêver”. “Il n’y aura plus de jeunes pour reprendre nos fermes et pour innover”, déplore-t-il, enjoignant les responsables syndicaux parisiens à charmer pile “sauver l’agriculture du 31”.
Axel Tran Van, actionnaire une obstrué céréalière de 200 hectares à Merville, se suffisant que “le Sud ne soit pas oublié des syndicats”. Pour aussi, il reconnaît que “la situation économique des agriculteurs reste très préoccupante. On n’arrive pas à atteindre les rendements du nord de la France ici”.
En attendant les élections des représentants syndicaux, la amertume des agriculteurs se cristallise… et ceux-ci se préparent déjà à des études massives à la mi-novembre, “une fois que les semis seront terminés”.
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