Pour sa 40e fascicule, le exposition du imprimé Ecritures & Spiritualités se tient dimanche 17 brumaire, de 14 heures à 18 heures, 78, rue Bonaparte, chez les locaux de la hôtel de ville du VIe secteur de Paris (hall émancipé).
Soixante-dix auteurs francophones, poètes, essayistes ou romanciers échangeront verso le assistance et dédicaceront à elles études parus ces trio dernières années. La psychologue Marie de Hennezel sera par prototype assidue aux côtés du esprit Souleymane Bachir Diagne, de la versificatrice Colette Nys-Mazure ou de l’écrivaine Laurence Cossé.
Les auteurs invités, sélectionnés vis-à-vis globalité sur des critères littéraires, sont entiers inspirés par les grandes traditions spirituelles, qu’elles-mêmes soient chrétien, luthérienne, ouaille, musulmane, juive ou bouddhiste. « Dans à elles études, ils tissent un analogie convaincu les questions existentielles que chaque homme se insistant sur la vie, la douleur, la disparition ou la contentement, et la hauteur imité des textes sacrés. C’est ce que quelques-uns appelons vie intestine, ou vie évanescente », développe la écrivain et écrivaine Christine Ray, présidente de l’incorporation Ecritures & Spiritualités, organisatrice du exposition.
« La phalanstère semble se méfier les religions »
Trois individus sont à l’avènement de la genèse de cette incorporation et de ce exposition du imprimé, en 1977 : le théologien ouaille Olivier Clément (1921-2009), le esprit islamiste Mohamed Talbi (1921-2017) et le rhapsode israélite Claude Vigée (1921-2020). « Chacun trouvait ancré chez sa routine, rejet Christine Ray. Ensemble, ils partageaient la même effroi entrée une phalanstère de mieux en mieux agnostique et reculée de la immatérialité. »
En 2015, l’incorporation dite « des écrivains religieux francophones » converti de nom derrière Ecritures & Spiritualités. Au fil des ans, le exposition, né chez un bruit d’mentaux, a su détecter un intelligible assistance : six cents visiteurs sont attendus cette cycle. L’fascicule de 2019, ordonnée chez la accru nef du Collège des bernardins, avait même attiré quelques mille lecteurs, verso cent auteurs présents.
L’événement s’est de ce fait doucement ajouré aux religions non monothéistes, proche surtout des auteurs bouddhistes. Parmi eux, le chancelière chouan vigogne Jigmé Thrinlé Gyatso sera libéralité cette cycle derrière la témoin coup. « Qu’un exposition du imprimé ou bien sûrement voué aux spiritualités est atypique, salue le rhapsode, comme coprésident de l’Union bouddhiste de France. Dans les étranges salons auxquelles je participe en aussi que chancelière et librettiste, je constate que le traduction des spiritualités est pointue à avancer. Malgré la laïcité, la phalanstère française semble se méfier les religions, je le regrette. »
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