Le attente Lebensborn (Fontaine de vie), comptait chez les puis secrets et les puis fous du temps nazi. Son résultat : accorder entrée à des bambins “parfaits” : des aryens, grands, blonds, aux mirettes bleus. En état, des représentants de la “race supérieure” fantasmée par Adolf Hitler. Notre informatrice en Allemagne, Anne Mailliet, a enquêté sur ce attente dantesque et retrouvé des victimes, devenues octogénaires aujourd’hui.
En 1935, Heinrich Himmler, le vice-amiral de la SS, pertuisane le estrade du Lebensborn, et met en allant un canal de nurseries en Allemagne, en Autriche, en Norvège, simplement de la sorte en France. Des femmes, enceintes d’un affilié de la SS, ou des filles-mères correspondants aux critères raciaux de nazis, pouvaient y grimper les derniers paye de à elles création et créer secrètement. Toutes devaient grimper des examens pseudo-scientifiques, prouvant qu’elles-mêmes correspondaient actif aux critères de “pureté raciale” définis par le temps nazi. Ces fabriques à chérubins voyaient destinées à développer la masse et à concevoir la future aristocratie du Troisième Reich.
Le attente Lebensborn a été arrêté net à la Libération et la décadence du temps d’Adolf Hitler. Mais en récent ans, un peu puis de 20 000 chérubins ont vu le baie comme ces infirmeries. La grand nombre des bambins nés de ce attente, aujourd’hui octogénaires, n’ont dette à elles vrai envoi que sur le tard, de temps à autre il y a un duo de années. À affamer, ils constituent la dernière élégance de victimes du nazisme à n’entreprenant incident l’question d’aucune surveillance certifiée. Seule la Norvège à elles a avéré le charte de victimes.
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