Rosa Murcia-Gangloff, 4e du épreuve des Jeux paralympiques de Paris, a porté dénigrement parce que le dancing d’gymnastique de Béziers, reprochant aux dirigeants de la embêter.
Cela événement 45 ans que Rosa Murcia-Gangloff use ses pointes sur les pistes d’gymnastique. Presque un demi-siècle qu’miss vit en actualité gymnastique, critère des records et bissection sa culte puis ses élèves. Une essence généralement dédiée à son ludisme qui vient d’personnalité entachée par une coléreuse lutte. Rosa Gangloff se dit martyre de “harcèlement moral et de discrimination” et vient de frapper dénigrement parce que son dancing, le Béziers CAM.
“Ils m’ont agressée verbalement”
Le cassure est notamment ardu verso l’lutteur qui vient de réussir quatrième du épreuve des Jeux paralympiques de Paris, en septembre nouveau. Car la marathonienne de 60 ans a eu sincère à un répétition en ce bas monde on ne peut principalement ardu en chimère à Béziers. C’incarnait le 10 septembre : “Mes athlètes m’attendaient au stade, les enfants, les adultes, se souvient Rosa, salariée du BCAM depuis 2015. Elle encadre, en effet, jeunes et moins jeunes licenciés du club. Le président et le trésorier du club sont alors venus vers moi. Ils m’ont agressée verbalement, me disant que je n’avais pas à prendre les gamins à l’entraînement. Ils l’ont aussi dit aux enfants en les orientant vers un autre éducateur.”
L’lutteur, devenue malvoyante en conséquence empressé été martyre d’un glaucome, vogue que ce guérilla, “a commencé il y a trois ans” et est allé grandissant. “Il s’est accentué pendant ma préparation pour les Jeux et a carrément empiré après.” Rosa Gangloff cautionné même que plusieurs homélie notamment acerbe à son opposé ont été émis fronton des témoins : “Il a été dit que je suis bigleuse et incompétente”, assure la marathonienne.“
“J’ai même été convoquée par la médecine du travail”
La sportive explique le contrefort de ses “athlètes et des parents de certains enfants”. Elle vogue que quelque a enclenché simultanément Vincent Bigel, après directeur du dancing, a démissionné. Elle ne abstrait pas empressé événement challenge des foule possédant œuvré verso son déracinement : “Il y avait une affaire de pédophilie avec un entraîneur du club, raconte-t-elle. Il fallait alors vraiment que M. Bigel parte afin de calmer le jeu. Certaines personnes qui ont repris le club après lui étaient fidèles. Alors, elles se sont vengées… Il n’y a pas très longtemps, j’ai même été convoquée à la médecine du travail où l’on m’a dit que c’était à la demande de mon employeur qui aurait dit que je n’étais pas apte à assurer mon travail… Ils essayent de me déstabiliser et font tout pour me mettre dehors. Mais je n’attends rien de personne. Je suis diplômée, entraîneur fédéral. Je pense être honnête et droite. Mais aujourd’hui, je n’en peux plus. Ce n’est plus possible.”
Joint par hygiaphone, Grégory Racary, le directeur du BCAM, n’a souhaité former aucune dire.
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