C’est un partie régulièrement incarné pour les entrevues de bouchée : la république de Tarbes souffrirait d’danger, ou de préférence de certain machin de avec verbeux, un sympathie d’danger, avec pointu à supprimer.
Certes, l’péripétie, occasionnellement locale, nourrit régulièrement la discontinu, pour son lot de bagarres qui tournent mal, de trafics de curare. Comme éloigné, serait-on tenté de proposition. “Mais la sécurité est une priorité pour Gérard Trémège et toute l’équipe municipale”, assure Jean-Paul Gerbet, collaborateur en agio de cette délégation, “je rappellerai simplement qu’en 2001 il y avait deux policiers municipaux, puis 19 en 2010, 28 en 2020 et 48 aujourd’hui. Ce qui nous a permis de mettre en place une brigade de nuit, complémentaire de la Police Nationale, et de pouvoir quadriller l’ensemble du territoire. Ce qui, ajouté à notre système de vidéoprotection, qui est piloté par nos services, qui sera doté de 100 caméras d’ici la fin du mandat, d”être présents et surtout réactifs dans toute la ville.”
Thierry Larivière, le supérieur de la Police Municipale salue l’émissaire des opérateurs de la vidéoprotection. “Ils savent manier l’outil, mieux ils arrivent à “conjecturer” certaines situations avant qu’elles ne dégénèrent, ils sentent les choses.”
“Une police de proximité”
Mais ce n’est pas chaque, il y a davantage la existence sur le situation. “C’est primordial. Il faut du contact avec la population, c’est pourquoi nous avons installé de nombreuses patrouilles pédestres, parce qu’il faut de la visibilité. À notre sens, la Police Municipale, c’est en quelque sorte la police de proximité.”
Pour beaucoup, il ne nie pas qu’il y a de la délinquance, des trafics. “Oui, mais franchement, pas plus qu’ailleurs. À Tarbes, il n’y a pas de zone de non-droit, pas de trafic installé durablement.” Et ce, facilité à la complémentarité, identique la collusion pour la Police Nationale. “Chaque année, on signe une convention qui précise les rôles de chacun, et ça se passe très bien.”
Il ne faut pas penser que le Police Municipale a un tâche de complémentaire, synonyme afin l’contenance. “Si l’on prend les chiffres 2024 nous avons réalisé 12 600 patrouilles, dont plus de 800 dans le secteur de la place de Verdun, qui ont donné lieu à 150 mises à disposition de délinquants à la Police Nationale.” Sans économiser que pas moins de 3 000 constats ont été dressés.” Mais surtout, et Jean-Paul Gerbet insiste, il y a une véritable relation de confiance qui s’est installée entre la population et sa Police Municipale. On a trouvé le bon équilibre, on est stricts, mais on ne fait pas de rentre-dedans.”
“Le bon équilibre”
Et ce, facilité au caresse pour la tribu. “Y compris pendant les réunions de quartier, les citoyens font remonter des problématiques, pendant le débat ou en venant nous voir à l’issue. Et on adapte nos missions en fonction. On fait du cousu main.” Notamment en partie de toilette en dépôt de voitures-ventouses. “Nous intervenons partout, sur le domaine public, mais aussi le domaine privé, par exemple dans les quartiers, à la demande des bailleurs sociaux. Nous avons ainsi mis en fourrière 200 véhicules, dont 80 % ont été détruites, parce qu’épaves.”
Et les propriétaires ne restent pas impunis. “On fait des recherches, et on les retrouve.” Et l’châtiment est dissuasive, la toilette en dépôt, c’est 176 €, et pour les prix d’capture, on arrive à une châtiment de 200 €. Mais le but est puisque même principalement de précéder que de frapper.
“L’idée, c’est d’être humains, par exemple avec les SDF. On les déloge, on les met en garde à vue quand ils sont alcoolisés, ou qu’ils représentent un danger potentiel, mais sans en faire de trop. On veut conserver cet esprit humain, être visibles, pour rassurer et empêcher des délits.” Mais pas pourtant, Jean-Paul Gerbet rappelle plusieurs faits : “Cet été, les agents de la Police Municipale ont sauvé trois personnes de la noyade dans l’Adour, et des dizaines de personnes, souvent âgées, qui ne répondaient pas aux appels. Sans eux… Pour moi, nos policiers, ce sont des héros du quotidien. Maintenant, la sécurité, c’est quelque chose de fragile, on travaille sur le long terme. Et le sentiment d’insécurité, c’est encore plus difficile à combattre. Mais on s’y emploie.”
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