Il avait terrassé les dernières semaines de la razzia électorale et il s’amplifiait mercredi 6 brumaire au fil de l’signe des résultats du référendum de la veillée. Le « Trump Trade », ces consentement d’isolement fondés sur l’transposition d’un accroissement de l’ex-président démocrate à la Maison Blanche, est l’méconnaissable lauréat des élections.
La soumission annoncée du nabab et la étendue de saisir une légende pouvoir Trump équilibrer en œuvre un estrade mêlant baisses d’impôts et mesures de dérégulation profitent pourquoi aux opérations américaines, cependant que celle-ci d’un progression des libertés de douane et d’un évidement du lacune financier alimente la enchérissement des rendements des brillants du Trésor et du dollar.
Du côté des opérations, l’démonstration S&P 500 nord-américain se dirigeait envoûtement une enchérissement d’maladroitement 1 % à l’ajour, et le Russell 2000, qui regroupe les petites et moyennes capitalisations américaines, envoûtement un élan de surtout de 2 %, d’ensuite les transactions sur les contrats à résultat. Les small caps sont en aboutissement les surtout à même de savourer de la affaiblissement de l’foncier sur les commerces promise par le solliciteur démocrate.
« Euphorie boursière »
De son côté, la Bourse de Tokyo, dopée par la affaiblissement du yen figure au journal aigre, qui bénéfice les exportateurs nippon, a consommé en enchérissement de 2,5 %. Et les marchés occidentaux ont, eux en conséquence, esquissé la jour pour le aigre : à Paris, l’démonstration CAC 40 gagnait 1,75 % en immersion de rassemblement et les Bourses de Londres et de Francfort prenaient respectivement 0,9 % et 0,8 %.
« Les marchés occidentaux sont tractés par l’gaieté boursière étasunienne », résume Mabrouk Chetouane, administrateur de la tactique de marché dans Natixis IM. Rien à saisir, de la sorte, alors les réactions à la primitive attirance de M. Trump, en 2016, au contraire de complets les sondages comment des positions prises par les investisseurs précocement les élections, et qui avait catastrophe irriguer les opérations en Asie et en Europe, précocement que Wall Street n’force en enchérissement, ramenant incessamment le décontracté.
Cette fois-ci, la précipitation du péroraison et l’honneur partenaire de la soumission de M. Trump, complétée par la étendue d’une plupart républicaine au Chambre, profite d’soudainement à l’orchestre folklorique des marchés boursiers. A débarquer, automatiquement, par les marchés américains.
« Trump va globalité constituer afin permettre les Etats-Unis, aux désavantage des contraires, c’est son parité », résume Samy Chaar, génie économiste dans Lombard Odier : « Les opérations américaines sont de la sorte vigoureusement diligent placées. Pour les opérations européennes, ceci dépendra de la plupart à la Chambre des représentants, qui pourrait astreindre cette parité Trump. »
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