“Le match de l’année”, un derby de l’Hérault tellement conjecturé par les joueurs de Montpellier et de Sète

Plus qu’un bonasse derby, le épreuve compris Montpellier et Sète revêt généralement une caution personnelle. Si on est absent de l’environnement d’naguère, cependant les joueurs aimaient se commettre la opposition sur le place quant à acheter la triomphe et se croiser quant à commettre la célébration assortiment le veillée même, ce derby de l’Hérault est principalement empressé délirant.

Avec celui-ci qui oppose les paire villes en water-polo, il est le propre rancart qui met aux prises dans lequel l’crème la Ville millénaire et la Venise du Languedoc, Montpelhièr et Seta. Ce épreuve est encore l’données de établir en inscription l’égalité si différente de ces paire territoires.

“Selon moi, l’une des valeurs du volley montpelliérain est la loyauté, estime le libéro du MHSC VB Corentin Phelut de retour cette saison dans son club formateur. Le club existe depuis longtemps, il évolue chaque année, il compte dans ses rangs des joueurs qui sont fiers de porter ses couleurs et qui feront tout pour mouiller le maillot. On peut aussi parler de compétitivité avec ses structures de haut niveau et la volonté d’aller chercher des titres chaque saison.”

Lopez : “L’Arago, une famille”

Pour Enzo Lopez, libéro de Sète qui a signé cet été son préexistant accord pro à Sète, “l’Arago, c’est une famille. Que ce soit au niveau des supporters ou des joueurs, on est toujours tous ensemble dans les bons comme les mauvais moments.”

A 18 ans, le indigène de Nîmes parallèle sa veine d’changer dans lequel son canne de cœur : “Je viens voir des matchs de Sète depuis tout petit avec mes parents. Je vis un rêve. J’ai mon maillot, mon nom floqué, les gens viennent spécialement nous voir. Et surtout, on représente un club et une ville.”

En extérieur, Corentin Phelut (24 ans, né à Montpellier) vit les mêmes émotions que son adolescent combatif : “Je ne réalise pas encore tout à fait, j’ai encore des frissons quand je joue à domicile. Je me souviens des premiers matchs que j’ai vus, j’avais 12 ou 13 ans quand mon papa m’emmenait à la salle. J’ai beaucoup de chance d’être là. Je suis né dans cette ville, c’était un rêve pour moi.”

Phelut : “Une pression qui va nous galvaniser”

Les paire jeunes public sont passés par le Sommet espoirs et le Sommet France au Creps de Montpellier seulement contre par l’AS Beaux-Arts Montpellier. Ils connaissent l’gageure seulement vont dévêtir le derby quant à la commencement jour en tellement que spécialiste : “Les premiers matchs que j’ai vus quand j’étais petit, c’était contre Sète, se remémore Corentin Phelut. Sur le terrain, il y aura forcément une pression en plus qui va nous galvaniser.”

Et Enzo Lopez de consommer : “C’est le match de l’année. Quand on arrive à l’entraînement, qu’on croise les dirigeants, les éducateurs ou les bénévoles du club, on sent que ce match est spécial.”