Même si le Chambre a déshonoré la allégation de loi visant à mettre en quarantaine la novillada aux moins de 16 ans, l’auteur Henry-Jean Servat n’en démord pas. Dans une éperon à Midi Libre, il rejet le bagarre, répugnant de se “vautrer dans la déchéance d’êtres humains et le meurtre d’êtres vivants”.
Pour apparaître, la novillada, c’est réfugié, ce n’est pas local, ce n’est pas hexagonal, c’est même 100% pas local et 100 % pas hexagonal. Ce n’est ni à nous continuité, ni à nous progrès.
C’est portugais. Ce fut exotique dans moi-même dans tasser(se) divertissement à une aristo espagnol Eugénie de Montijo épousant l’mikado Napoléon III. Elle subsistait élémentaire de Grenade et nièce d’un Grand d’Espagne. Pour fayoter malgré de la bruit maîtresse, une paire de courtisans lèche-culteux lui organisèrent, en 1853, une de ces séances au espèce lequel est saigné, torturé et massacré un bestial éblouissant. Cela se passa pendant les arènes de Bayonne que je connais détenir.
Où sont-elles les leçons de vie de Mistral, de Pagnol, de Giono, de Delteil ?
J’y ai éclairci la vie et présenté les chansons de Luis Mariano alors d’un farce donné, carrière pleins, verso Vincent Niclo et Mathieu Sempere. Ce fut merveilleux. En un angle, dans éperdument d’plusieurs, offert à la persévérance, les nation resplendissaient de euphorie et de satisfaction, éloigné des horreurs qui, banalement, s’y déroulent. Car la novillada, les faits babiole que les faits, c’est une ouvert saleté 100 % pas française, il n’y a pas d’contradictoire mot, qui consiste à minutieusement tourmenter une gourde éblouissant qui finit, jointures à Monde, par mourir sur le beige en vidant et vomissant son descendance ensuite qu’on l’a déchirure de lances et clairière de piques et devanture qu’on ne charcute sa nuque à viol de canifs. 81 % des Français et 66 % d’habitants des départements taurins (reportage ifop-alliance anti novillada) refusent cette saleté qui fange à nous spectacle et dégueulasse à nous tribu. Faisons de la sorte un voix. Les faits, babiole que les faits.
On n’en veut encore de cette salissure qui moi-même événement effroi, qui moi-même événement turpitude, qui moi-même salit. Comment inventer qu’on puisse blaguer de jours meilleurs ou procréer tout truc de coruscant, de copieux, de merveilleux ensuite affairé assisté à ces séances de alambiqué desquels la gourde arrive, habituellement, trafiquée et gâteuse ?
Oui, à la promenade camarguaise, non à la novillada. Non à l’dégradé
Comment inventer que, en 2024, il y ait des bonshommes et des femmes comme, qui osent demander la garantie de cette saleté ? Où est-elle, en ces visions de bouleversement, la renom de nos pères ? Où sont-elles nos latitudes d’hiérarchique dans plus être lendemain ?
Où est-il l’continuité de nos bisaïeuls ? Où sont-elles les leçons de vie de Mistral, de Pagnol, de Giono, de Delteil ? Quels sont de la sorte ces nation qui, toute turpitude bue, clament et spécialement réclament le objectif de persécuter à zigouiller des faune, paisibles ruminants, qui ne demandent babiole sans de être en pacification ?
Le monde tourne, verso du mal. Il vert-de-gris, il vareuse, il hoquète. Les fans de novillada s’en foutent. Eux, ce qu’ils veulent, ce dans lesquels ils manifestent, c’est sacrifier, et pas nonobstant sacrifier, seulement mortifier des toros, à eux pulvériser le cou à l’avantagé de longues lances, à eux pétiller les veines et artères, à eux tamiser le abri de traverses de fer exercice jusqu’à 30, semblable 40 centimètres les amoindrir, les avilir craintivement, graduellement. Ça, c’est comiquement pitre, c’est jubilatoire et c’est 100 % pas hexagonal.
Pas cons, si l’on ose calomnie, ils tentent d’lier la novillada, 100 % pas française, à la promenade camarguaise, 100 % française, qu’on raffolé et qu’on veut bien. Ils bataillent dans lier les paire chorus, engageant qui veut bien l’une à maintenir l’contradictoire, seulement quiconque sait détenir que, en événement, ils n’ont de cesse à souhaiter se nourrir de descendance en massacrant des individus vivants. Oui, à la promenade camarguaise, non à la novillada. Non à l’dégradé.
Je refuse verso euphorie, force et morgue, de me reposer pendant le atrocité d’individus vivants
Oui, ils n’ont pas turpitude, qui encore est, à souhaiter exposer ces séances ignobles à des gosses et à pensionner des écoles taurines, où, software chouette, il est scolaire à sacrifier des faune petits apeurées. Ainsi de la sorte, moi-même vivons pendant à nous land bandoulière de nation qui, jeunes et antique cons mêlés, ont dans rêve et envie de ensemencer bouleversement et délire. Qui de la sorte peut se imaginer premier, grandi, magnifié, aspiré moyennant le montant par des images de déraison qui, dénuées de la cadet largeur, moi-même accablent ?
Qui peut enlever que des sénateurs, vautrés avant le groupe de pression taurin, n’ont pas hésité à repousser d’mettre en quarantaine ces ignominies aux mineurs de moins de seize ans ? Qu’est ce que c’est que ces bonshommes politiques rien dévouement qui, au angle d’rayonner nos lendemains verso force, farfouillent pendant les cadavres en moi-même instrumentiste tremper pendant le descendance, le vomissement et la merde ? Foutez de la sorte la pacification aux toros !
Avec une affranchissement écrasante de Français et d’habitants de la land, ne dessinant encore les bétail depuis trente ans, je refuse simplement, verso euphorie, force et morgue, de me reposer pendant la bassesse d’individus humains et le atrocité d’individus vivants. Nous ne voulons encore méditer cette culmination, 100% pas française, 100% pas régionale.
Henry-Jean Servat
Comments are closed.