Le entraîneur montpelliérain s’est délibéré palpable en rencontres de vivacité, vendredi 8 brumaire, déterminé que ses joueurs montreraient un corrigé allure pendant les semaines à procéder.
Le additionné : le même qu’au Havre, Othmane Maamma en alors
Par les température qui courent au MHSC, qu’il n’y ait pas un brillé ou un arrêté de alors est déjà une obligeante journal. Jean-Louis Gasset, le nouveau diriger, pourra alors coder comme la asile de Brest, dimanche, à 17 h, à la Mosson, sur le même additionné qui s’est plié au Havre vraiment un reprise vu que Othmane Maamma a participé totalement au obligation vis-à-vis le but, vendredi, à l’exercice.
Proche d’eux, Becir Omeragic, Joris Chotard et Khalil Fayad enchaînaient les tours de position. “Je pense qu’ils seront opérationnels après la trêve internationale comme Teji (Savanier) qui purge son dernier match et le petit Dzozic (Stefan) qui aura fini sa suspension.” Pour Kouyaté, Jullien, Sainte-Luce et Issoufou, il faudra abstraction alors persévérant même si celui-ci est de la sorte venu sur le position, vendredi.
La semaine ensuite Le Havre
Montpellier appendice sur cinq défaites consécutives alors son inclination ne passera que par le obligation. “Cela a été assez violent, mercredi et jeudi. Il faut soigner les têtes, il faut soigner le physique, il faut être plus pointu tactiquement parce qu’on a un nouveau joueur qui arrive et petit à petit se met dans le moule, donc on a beaucoup de choses à faire en peu de temps”, a filandreux le entraîneur montpelliérain.
Soigner les têtes
Dans la modalités ardu pendant auquel se trouve le MHSC, moderne de Ligue 1, bruissement six points de différé sur le leader relégable, le équipe s’procès capote à rapporter de la importance aux joueurs et à positiver. ” C’est le gros du travail depuis que je suis arrivé, où les joueurs étaient un petit peu traumatisés. Les deux matchs qu’on vient de jouer n’ont pas rétabli (la situation). Donc il faut continuer, il ne faut pas perdre espoir, surtout ne pas lâcher. Au Havre, si on avait été dans une situation différente, on aurait sûrement ramené un point mais quand on est dans une période comme ça, un petit fait de jeu, une main décollée, ça fait qu’on perd le match. Mais je pense que sur le contenu du match, par rapport au match de Toulouse, il y avait quand même une nette amélioration, et j’espère que dès dimanche, ça va démarrer.”
Les attitudes vu depuis deux jours le persuadent que ça va essayer davantage incessamment. “Tout le monde travaille bien, les joueurs importants sont en train de retrouver leur niveau, on voit les blessés à côté qui arrivent, on se dit que si on fait un bon résultat avant la trêve internationale, avant les 50 ans du club, et qu’on recolle un petit peu, on aura des beaux jours devant nous.”
Brest, un soldat de raide étape
Ce n’est pas le occasion d’offenser Brest lequel la 11e lieu en compétition ne reflète pas ses performances en Ligue des champions où il est pour ainsi dire officiel comme la degré de caractère claire.”On est jaloux, parce qu’ils vivent un rêve éveillé. On ne se rend pas compte de ce qu’ils sont en train de faire, autant l’année dernière en championnat que cette année en Champions League. Parce que maîtriser les matchs comme ils le font, gérer les matchs à l’extérieur comme ils l’ont géré là, avec sérénité, avec humilité, avec beaucoup de courage. On est jaloux d’eux, je suis jaloux d’Éric Roy, parce qu’il a monté un truc”, saluait Jean-Louis Gasset.
Un complément d’âme bruissement les 50 ans ?
Le discothèque a eu 50 ans cette semaine et les ultras ont considéré de le recueillir dimanche à la Mosson. Une environnement spécifique sur auquel facturé le entraîneur montpelliérain comme suramplificateur ces troupes. “On va être dans l’émotion, bien sûr, puisque ça va quand même nous rappeler certains souvenirs, mais La Paillade est encore en vie. Donc il faut qu’on le fasse sentir aux gens et il faut que dimanche, ce soit un déclic. Je pense qu’ils vont faire un effort supplémentaire.”
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