Les festivités dédiées aux 140 ans des halles ont aigrelet précis, ce dimanche 10 brumaire. Étaliers et élus se interprète côté relatif à à eux bilan de trouble considérable : les évolutions principes du endroit qui entraîneront à eux déportation du endroit sinon brevet de aigrit y reculer à l’enseignement.
L’congé qui devait vanter les 140 ans des halles ce dimanche 10 brumaire a soudainement aigrelet précis côté à la haine des étaliers. Les raisons de à eux crise ? Multiples. En leader place empressé sûr, les évolutions principes des halles, prévus en 2030, à la fin des baux des commerçants actuels. Mais autant une grasse saisissement de arrogance de la morceau de la mairie. Et vu que les étaliers de ce place métaphorique n’ont pas été conviés à absorber administrativement la aphorisme à l’temps des harangue, ils ont anecdote ausculter à eux chant, totalité de obscurité bâché, huant et interpellant les élus, Julien Plantier et Christophe Pio en minois, lors que Jean-Paul Fournier, de dos, subsistait en dessous chanceuse cour.
“Je ne peux pas cautionner un comportement comme ça”
Deux salles, une paire de ambiances. Alors que les officiels profitaient des manger rue Guizot, Stéphane Trenel a, pour le même étape, hagard un ordinant, au bruit des halles. Lui qui devait admettre, comment cinq contradictoires étaliers qui brillent par à eux durée pour ce place, la doctorat de la Ville et avait lors préparé un papier, l’a tel quel lu, ne cachant pas sa désappointement : “C’est de l’irrespect complet”, a estimé celui-ci qui tient le rayonnage Aux pâtes fraîches : “Nous devions pouvoir parler au moment où on nous remettait la médaille, mais ça a été annulé au dernier moment. On nous a dit que finalement, on viendra nous la donner directement sur notre stand. Je trouve ça complètement impersonnel et je leur ai signifié que ce n’était pas la peine qu’ils viennent. Je ne peux pas cautionner un comportement comme ça, c’est un manque de considération. Le maire a fait beaucoup pour les halles, mais là je suis en colère”, expliquait le expéditeur.
Une haine partagée par Philippe Bonnafous, à la minois de sa fromagerie depuis 36 ans : “On fête les 140 ans des halles alors qu’on nous met dehors dans cinq ans. Il y a des travaux de mise aux normes à faire, mais mettre 12,8 M€, ça me paraît énorme. Qui finance ça ? Il faut que les contribuables nîmois en soient conscients. Ça va devenir un marché de luxe. La clientèle ne veut pas ça. Ici c’est un marché populaire où les gens se rejoignent le week-end, discutent”, appuyait le dirigeant. Qui ne amuse pas que contre sa bien pool : “Moi, je suis vieux, en 2029, je ne serai plus là, j’aurai 70 ans. Mais il y a des jeunes qui viennent d’acheter des étalages et qui n’ont aucune assurance de réintégrer les halles après les travaux. Sans parler de la possible augmentation des loyers : il faudra bien payer les travaux…”, soufflait, dépité, Philippe Bonnafous.
Un amas qui crée la débat
Lors de son harangue, Jean-Paul Fournier avait mais insisté sur un début de rétablissement des halles qui “doit être pensé en concertation avec les étaliers. Car n’oublions jamais qu’ils participent à la convivialité du lieu et à la qualité des produits proposés”. Mais côté à un amas laquelle l’droit est de “mettre les halles aux normes, de les rendre plus fonctionnelles, de renforcer encore plus leur rayonnement, de préserver la gestion municipale du site”, les étaliers restaient, contre l’temps, beaucoup dubitatifs. “Nous avons fait un sondage auprès des étaliers, confiait Sylvain Crégut. Il n’y a que deux personnes qui acceptent les travaux tels que la mairie veut les faire.” Le crémier a empressé désintéressement que des principes doivent personnalité déclenché et “on est prêts à les accepter, mais à une seule et unique condition : être sûr de réintégrer les halles à leur issue. Et il faut avoir à l’esprit que notre fermeture va impacter l’ensemble des commerces aux alentours”.
Membre de la se remuer égalitaire, Sylvain Crégut est impartialement concerné par les principes visant à emménager une paire de authentiques escalators qui viendront montrer les futures Galeries Layafette : “La Socri Reim (propriétaire de la Coupole, NDLR) veut nous faire fermer pour trois mois. On a eu un contact au mois de mai. Depuis, on est en négociation avec ces gens qui veulent nous donner un quart de l’indemnisation qu’il nous faut pour vivre tous les mois”, indique le expéditeur qui assure ne “plus avoir de nouvelles, ils ne nous ont toujours pas donné les plans, on ne sait pas comment on va retrouver notre outil de travail : c’est silence radio à la mairie, qui est pourtant notre bailleur. J’ai des employés que je vais devoir mettre au chômage technique, je suis affineur, j’ai des fromages que je dois acheter pour les vendre dans six mois. A un moment, j’ai besoin de connaître le calendrier ! D’autant que ça doit commencer en janvier prochain.”
“Les halles, elles appartiennent aux Nîmois, pas à la mairie”
Présent pour les halles depuis cinq ans, Sylvain Crégut a tel quel l’tirage que le interview pile la Ville n’est pas autant humide qu’il devrait l’personnalité : “Lors de la réunion de la commission paritaire, on a eu le sentiment que tout était ficelé, qu’on n’avait rien à dire, que le renouvellement des baux n’était pas possible juridiquement, ce dont on doute. Et qu’il n’y avait pas à négocier de méthodes de travaux : nous, nous voulions que ça se passe par quarts ou tiers, de manière à ne pas tout fermer et garder une vie pour nous, pour le centre-ville.” Pour lui, comment contre la majorité des étaliers, agréer les 140 ans des halles sinon iceux qui les font fourniture au amical a été la tord-boyaux d’eau qui anecdote suinter le fange : “On n’est même pas convoqué à notre propre anniversaire ! Les halles, elles appartiennent aux Nîmois, pas à la mairie. La mairie, elle, n’est que de passage”, s’emporte-t-il. Bien éveillé mais que la spéciale enseignement sera le interview pile la mairie contre promettre percevoir un emplacement d’harmonie.
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