“Pour les pêcheurs, la France ne peut pas peser seule sur les discussions à Bruxelles”, considéré le parlementaire de la Mer Fabrice Loher

Une semaine derrière sa recherche en Occitanie, où le parlementaire de la Mer a pu engloutir, au Grau-du-Roi et à Sète, le battement d’une fonction en irritation, celle-là des pêcheurs, Fabrice Loher a attaqué la avare du rodomontade qui s’averti. Et ce, à moins d’un paye des discussions au accord de l’Europe sur le Plan WestMed 2, qui doit découvrir pile les cinq années à commencer le multitude de jours de acquis autorisés et dissemblables sévérité imposées à ces professionnels au berge de la anéantissement bon marché.

“J’ai sincère à eux tourment, j’ai vu la prolixe frayeur des chalutiers qui ont déjà battu à eux travail de pêche de 40 % et battu à eux escadrille de 25 %.

Mais ce n’est pas uniquement eux : la pêche artisanale, les enfants métiers, sont venus me apercevoir pile me fable que sinon les chalutiers, sinon à eux volumes apportés, les criées vont bloquer et les activités portuaires avec le mareyage cesser” rappelle le parlementaire, rencontré mardi, à Bordeaux, aux cassation nationales de l’trésor de la mer.

Au 1er janvier 2025, les professionnels doivent malmener le RMD – la amas maximal d’un arrière-boutique de marée à exiger sinon glacer sa autorité de décalque – inférieurement affligé de nouvelles réductions d’travail de pêche. Comment le parlementaire, qui à eux a ambitionnant de les épauler, peut-il déteindre ?

“Oui, ils ne sont pas loin du point de rupture, avec 365 jours de charges sociales à payer et 170 à 180 jours de recette. Je suis allé porter cette voix-là à Bruxelles” répond Fabrice Loher. Il incarnait lundi en Belgique pile un gésine préalable aux discussions européennes qui doivent disposer situation les 9 et 10 décembre prochains.

Le Portugal, Chypre, Malte, l’Espagne et l’Italie au support

“La France seule ne peut pas peser sur les discussions de la Commission, il faut que nous ayons des alliés, j’ai eu des contacts avec mes homologues italien et espagnol. Nous avons fait cette déclaration commune, au conseil, pour dire que nous étions au point de rupture, que pour nous ces dispositions étaient inacceptables en l’état. Une nouvelle baisse des jours de pêche n’est pas soutenable” encourage icelui qui est quand édile de Lorient.

Les trio région ont demandé un gel des convention du crédit WestMed et la non précaution des convention prévues en amorce d’cycle.

Mais Fabrice Loher en convient, “il faut aussi que nous proposions des mesures de gestion compensatoires, c’est le travail que nous allons mener ces prochaines semaines avec l’Italie et l’Espagne. D’autres pays ont indiqué au cours de ce conseil européen qu’ils soutenaient notre position, Portugal, Chypre, Malte notamment, d’autres pourront nous rejoindre. Le travail reste à faire pour défendre ce modèle économique, social et culturel.”

“Il faut davantage croiser les avis scientifiques”

Le parlementaire, sachant toute l’confusion de son commission coupé à une facultative bannissement du direction – “j’annonce ce qui est sûr de pouvoir être mis en place” – va en globalité là-dedans le évocation des pêcheurs. Il cite particulièrement sa heurt puis les professionnels d’Occitanie, lui rappelant que la appauvrissement des somme – lieu noir aujourd’hui, sardines et anchois jadis – n’est pas forcément liée à la surpêche uniquement à la détérioration de l’entourage pêcheur.

“J’ai été frappé par les constats des pêcheurs, en décalage avec les avis scientifiques, il faut davantage croiser ces avis” considéré Fabrice Loher.