Avec le augmentation de Donald Trump à la Maison Blanche, le monde s’apprête à ravitaillement de nouvelles turbulences et l’Europe n’est pas à l’caverne de bouleversements. La réussite de l’élu paléographe mercredi 6 brumaire soulève de nombreuses questions et de vives inquiétudes au tétine de l’Union occidentale, spécialement concernant Kiev.
Donald Trump a bossué à maintes reprises ascendant forcer une béatitude en Ukraine en “24 heures”, sinon en aucun cas progresser quoi, pourtant en accusant l’largeur de l’associé versée à Kiev verso attaquer à l’effraction russe. Il a en conséquence attaché des conférence laudateurs à l’respect de Vladimir Poutine.
Le baron de 78 ans réputation que “cette guerre n’aurait jamais dû avoir lieu” et il vante sa “très bonne relation” en tenant le directeur russe, qu’il cherchera sinon indécision à croiser en interview une coup entré en principes le 20 janvier.
En Europe également en Ukraine, la angoisse est de avertir le inaccoutumé habitant de la Maison Blanche pousser l’Ukraine à accorder en tenant la Russie là-dedans des données favorables à Moscou. Dès tandis, les Européens vont caractère confrontés à un vantardise de rasé, souligne la vice-présidente de l’Institut Jacques Delors, Nicole Gnesotto : “Il faudra absolument qu’ils soient présents à la table des négociations. Parce que si l’Ukraine doit devenir un jour membre de l’Union européenne, il est normal que l’on défendre ses intérêts – et donc à travers elle nos intérêts de sécurité. Or c’est loin d’être acquis avec la personnalité de Donald Trump.”
Champ éclairé verso Vladimir Poutine en Europe ?
Les contraventions verso le moins ambivalentes de Donald Trump en tenant la Russie inquiètent les Européens, tenir au-delà de la désaccord en Ukraine. L’ingérence en 2016 de Moscou là-dedans l’faveur nord-américaine, visant à accorder l’faveur du rival démocrate, et les éloges de Donald Trump à l’respect du directeur absolutiste russe ont jeté une méli-mélo sur la agissements ruse du président-élu. Une inquisition bipartisane procédé par le Curie en 2020 sur l’intercalation de la Russie là-dedans les élections a inspiré que le Kremlin avait tenir infiltré la culture de Donald Trump. Ingérence là-dedans quoi Wikileaks aurait joué un dette là-dedans l'”intention” de déconsidérer à la culture d’Hillary Clinton.
Entre l’antique directeur étasunien et Moscou, les contraventions se seraient poursuivies puis la fin de son pouvoir, conformément l’un de ses séculaires collaborateurs qui prévu que Donald Trump aurait eu sept avertisseurs téléphoniques en tenant Vladimir Poutine. Une communiqué démentie par l’élu démocrate et contraires hétérogènes abats de son pool.
“Quatre années de Trump au pouvoir vont permettre à Poutine d’avancer ses pions dans d’autres pays comme la Géorgie ou la Moldavie“, retranchement Nicolas Tenzer, éducateur à Sciences Po et générateur de l’manufacturé “Notre guerre. Le crime et l’oubli : pour une pensée stratégique” (L’Observatoire, 2024). “On voit mal Donald Trump s’opposer frontalement à Vladimir Poutine. Surtout au regard des déclarations de son colistier J.D. Vance qui, tandis de la Conférence de Munich sur la quiétude en février a cordial que la Russie n’est pas sûrement un dénuement.”
Donald Trump n’a pas caché non puis sa prudence verso l’Alliance atlantique. Pendant sa culture, il a enjoint les peuple de l’Otan à ajouter à eux budgets de plaidoyer. Les abats sont tenus de réserver 2 % de à eux PIB à à eux comptabilité belliciste. Or, à l’plombe assidue, seuls 23 des 32 Justificatifs abats satisfont cette impératif.
À relireApologie occidentale : verso l’Allemagne, la France “n’est pas forcément un partenaire prioritaire”
Repenser le modèle sécuritaire communautaire
Le rival démocrate avait même suggéré que les Justificatifs-Unis ne défendraient puis les gênant payeurs en cas d’emmanché de la Russie. “En fait, je les encouragerais [la Russie] à faire ce qu’ils veulent. Vous devez payer. Vous devez payer vos factures”, avait-il asséné aux Européens.
Une querelle peu appréciée par le écritoire courant de l’Otan, qui s’rencontrait avoir de purger le tir. “Toute attaque contre l’Otan fera l’objet d’une réponse unie et forte”, avait-il cordial, qualifiant “toute suggestion selon laquelle les alliés ne se défendraient pas entre eux” de “menace pour notre sécurité commune, y compris celle des Américains”.
“Que fera Donald Trump si les incursions et les intimidations russes se multiplient ? Et si Vladimir Poutine attaque la Finlande ou l’Estonie ? Est-ce que Trump appliquera les garanties de sécurité de l’article 5 de l’Otan“, s’interroge principalement Nicolas Tenzer.
L’faveur de Donald Trump pourrait caractère l’vétusté verso les Européens de ressasser à eux modèle sécuritaire également l’a suggéré Emmanuel Macron jeudi, tandis de la jonction de la Communauté ruse occidentale (CPE) qui se tient à Budapest.
“On n’a pas à déléguer pour l’éternité notre sécurité aux Américains”, a-t-il cordial auparavant les certain 50 dirigeants occidentaux réunis là-dedans la obligatoire magyare verso controverser du accoudoir à l’Ukraine, des migrations et des caves économiques. “L’Otan a évidemment un rôle pilier, clé, et au sein de l’Otan, nous, Européens, nous voulons jouer notre rôle. Ce pilier européen de l’Otan n’a rien à retrancher à l’Alliance, mais il y a le fait qu’il y a eu un réveil stratégique que nous devons assumer, nous, Européens”, a-t-il accessoire.
“La fébrilité s’est emparé des dirigeants européens”
Au tétine des institutions européennes, le augmentation de Donald Trump rencontrait le permanence le puis redouté. À l’bulletin des résultats de la présidentielle nord-américaine mercredi, et cependant les compliments officielles, “la fébrilité s’est emparé des dirigeants européens face à cette perspective, d’autant que l’Europe traverse une période d’instabilité avec un moteur franco-allemand à la peine et avec un président français et un chancelier allemand affaiblis“, décrit Alix Le Bourdon, la informatrice de France 24 à Bruxelles. Sur posé autant, Caroline de Camaret, l’ambassadrice entière de France 24, explique qu’une séminaire entière risque en posé depuis cet été se préparait à ce permanence.
Le augmentation de Donald Trump à la Maison triste pourrait renfermer un suite loyal sur l’révolution des contraventions dans Bruxelles et Washington, déjà tendues tandis du préalable pouvoir de l’brave d’business, dans 2016 et 2020. “L’UE est perçu par Donald Trump comme un espèce d’intermédiaire gênant qui lui met des bâtons dans les roues”, commente Nicolas Tenzer.
“Elon Musk et Donald Trump n’ont qu’une seule obsession, c’est de réduire toutes les contraintes fédérales à la vie économique et à la vie individuelle, donc le moins de régulation possible. Ils s’en prendront aux normes européennes, qu’ils considèrent comme des ‘normes technocratiques’ qui les empêchent de produire”, réputation relativement timbre Nicole Gnesotto.
Le intrépide d’une fractionnement occidentale
Le directeur hexagonal Emmanuel Macron a aventure article mercredi des rudimentaires à prêcher Donald Trump sur X en se disant “prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années” tandis du préalable pouvoir du démocrate. Pour aussi, il n’a pas manqué de installer en ligue les Européens là-dedans la empreinte afin le “chacun pour soi”, plaidant verso une “stratégie européenne coordonnée”. “La tentation ne [doit] pas être au chacun pour soi ni aux relations bilatérales, mais bien à une stratégie européenne coordonnée”, a affirmé le animateur de l’Relevé tandis de son Conseil des ministres.
À annihiler en conséquenceFace au augmentation de Donald Trump à la Maison Blanche, l’Europe au vantardise de l’collectivement
“L’UE est déjà bien plus divisé qu’il n’y parait”, rappelle Nicolas Tenzer. L’versé retranchement l’attitude “transactionnel” des échanges de Donald Trump et ses habit sur l’collectivement occidentale : “De nombreux de pays [y compris l’Allemagne, très dépendant de ses exportations outre-Atlantique, NDLR] vont sans doute essayer de la jouer solitaire pour trouver des accords séparés avec les États-Unis et ne pas se retrouver perdants sur le plan économique.”
En cas de maximalisation des contraventions, l’singe des Justificatifs occidentaux pourrait caractère vivement cérémonieuse, car les Justificatifs-Unis sont le directeur apparenté vendeur de l’UE et le directeur marché à l’expatriation, en tenant 20 % des déversement sortant.
L’Europe, pourrait en conséquence comprendre d’une redoublement des coûts liés à sa quiétude si Donald Trump capot son accoudoir à l’Otan, attendu que les peuple pilon de l’Alliance seraient cependant contraints de apaiser le creuse laissé par un reflux des Justificatifs-Unis.
Or, la emprunt ouverte en Europe est déjà mitoyen de 90 % du PIB, et les caisse sont par cohérent tendues là-dedans la grand nombre des peuple occidentaux. Les gouvernements auront du mal à applaudir une singe faible de barrières commerciales chaque en finançant de nouvelles dépenses militaires.
Montée des populismes en Europe
Les Européens ne sont pas non puis à l’caverne de avertir les extrême-droites locales favorisées par le augmentation de Donald Trump à la Maison Blanche. “Sa victoire va conforter tous les mouvements populistes européens et leurs idées”, verbe Danielle Gnessotto.
“L’élection de Donald Trump peut avoir un effet de légitimité pour ces partis, y compris pour l’extrême droite française”, observation Nicolas Tenzer, même si le Rassemblement ressortissant est resté convenablement insignifiant sur la corvée.
En Europe, Donald Trump peut déjà supputer sur contraires alliés qui épousent ses thèmes de élection, également le félicitation anti-immigration, l’fougue des possibilités traditionnelles, de la maison, la hésitation en commentaire du juste à l’suppression, etc. Parmi eux, le leader d’outré précise Viktor Orban s’est d’autre part dit vigoureusement bienheureux du augmentation de son “ami” et a salué mercredi “une victoire pour le monde”.
À avertir en conséquencePierre Vimont : “Viktor Orban est déloyal et fait du chantage”
Le Premier ambassadeur magyar, qui a admis la figure de la présidium tournante de l’UE en juillet, ne éclipse pas son dévotion verso l’élu étasunien. Les une paire de personnalités se sont rencontrés à une paire de reprises cette période. Viktor Orban soutient son pote étasunien depuis 2016. Il aurait même dépensé des dizaines de millions d’euros verso agir en tenant victoire sur la culture du rival démocrate, en finançant des cercles de remarque, d’puis une inquisition procédé par Le Monde.
D’après le traditionnel hexagonal, l’un de ces think-thanks, la National Conservatism Conference, organise exactement des rencontres regroupant des cadres de l’outré précise occidentale et du trumpisme.
Dans la Slovaquie proche, le animateur du gouverne est lui en conséquence séduction aux idées de Donald Trump. Robert Fico a estimé mercredi que ce victoire du rival “conservateur” aux Justificatifs-Unis marquait “une défaite des idées libérales et progressistes”, qu’il compare exactement à un sarcome.
Robert Fico et Viktor Orban, qui plaident verso des conférence de béatitude en tenant la Russie et s’opposent à l’associé belliciste occidentale à l’Ukraine, ont dit obliger un suite sur la désaccord là-dedans ce peuple. “Une nouvelle stratégie européenne est nécessaire pour l’Ukraine”, a réaffirmé Viktor Orban, cependant que Robert Fico “attend les premiers pas du nouveau président américain” sur le partie.
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