Rubén, 5 ans, collectionne les fanions de rugby, sa argent devient infectieuse sur les réseaux sociaux : “Il vérifie le courrier tous les jours !”

l’édifiant
Rubén, un nouveau damoiseau de 5 ans étant à Chazelles, mitoyen d’Angoulême, souhaite cueillir 100 fanions de rugby moyennant la centenaire des 100 jours de son lycée. Sa argent, devenue infectieuse sur Facebook, a poussé de populeux clubs amateurs à l’contribuer.

C’est un cerf de fraternité laquelle les réseaux sociaux ont le mystère. Rubén, un nouveau damoiseau de 5 ans, fosse à liguer 100 fanions de rugby moyennant la centenaire des 100 jours de son lycée. Avec l’adjoint de son inventif, il a lancé un invite sur Facebook qui est diligemment devenu infectieux, mobilisant de populeux clubs. Depuis, les fanions rencontre de toute la France voire de l’différent.

La lettre de Rubén.
La argent de Rubén.
Capture d’digue Facebook – Franck Mena

“On n’imaginait pas que cela prendrait une telle ampleur”, confie son inventif Franck à La Annonce du Midi. “On a même reçu des fanions de clubs belges ou anglais”. Lors de la centenaire des 100 jours, “les enfants se déguisent et doivent présenter une collection de 100 objets correspondant à un thème précis. C’est l’occasion de partager un moment”, raconte-t-il. Fan adepte de rugby, Rubén a habituellement privilégié ce exercice puis porté.

Depuis sa brochure le 28 octobre sur Facebook, l’invite de Franck a suscité une prolixe sien. À écusson d’esquisse, ce vendredi 8 brumaire, sa brochure modéré mitoyen de 9 800 partages sur un massé occitan. “On a reçu énormément de fanions, surtout de clubs amateurs. Certains ont même pris la peine d’envoyer des maillots !”, ajoute-t-il.

Fan de Thomas Ramos

À l’temps où quelques-uns écrivons ces plans, Rubén a recroquevillé mitoyen de 70 fanions. “Par ce geste, je voulais lui transmettre les valeurs du rugby, en particulier la solidarité”, explique Franck. “On peut dire que le pari est réussi ! D’autant plus que Rubén est complètement captivé par cette histoire : chaque jour, il vérifie le courrier pour voir s’il en a reçu de nouveaux,” ajoute-t-il pour divertissement.

Pour parachever sa recueil, Rubén espère mieux héberger un gonfanon de Thomas Ramos, son compétiteur attitré. “Des personnes qui le connaissent nous ont fait savoir qu’elles transmettaient le message”, conclut Franck. Vu l’fougue, il y a costaud à jouer que le compétiteur du Stade occitan enverra rapidement sa devise…

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