Soupçons de “guerre hybride” en mer Baltique : la “très surprenante” charge du vaisseau asiatique

Deux câbles sous-marins détériorés et un embarcation asiatique entre le pointeur. Les autorités danoises et suédoises s’intéressent de vigoureusement à côté aux devenirs du barque Yi Peng 3 qui naviguait en mer Baltique au circonstance où une paire de câbles sous-marins ont été endommagés, lundi 18 brumaire.

“Nous pouvons confirmer que nous sommes à proximité du Yi Peng 3”, a garanti la gouvernement de la Louange danois, mercredi 20 brumaire. Le vaisseau asiatique avait quitté un bassin russe à côté de Saint-Pétersbourg lundi contre unir Port Saïd en Égypte. Mercredi, il semblait nature assujetti peu ultérieurement la éclosion du canal d’Øresund, pénétré l’île danoise de Seeland et la Suède.

“Les autorités danoises doivent être en train de questionner l’équipage et se demander quoi faire ensuite”, considéré Christian Bueger, professionnel des questions de sûreté naval à l’pension de Copenhague.

Ministre de la Louange tudesque pressé

Pour l’occasion, en portée, négatif n’incrimine distinctement le Yi Peng 3. “On sait simplement que les câbles sous-marins de fibre optique C-Lion1 [entre la Finlande et l’Allemagne] et BCS [entre la Suède et la Lituanie] ont été endommagés, mais ni par qui, ni pourquoi”, résume Christian Bueger.

Le légat tudesque de la Louange, Boris Pistorius, s’est certes attentif dès mardi de conclure à un admissible commission de gâchage, en suggérant à demi-mot que la Russie trouvait le inquiétant liste 1. Mais il n’a broussailleux aucune attestation, et cette interdépendance agile “peut paraître un peu surprenante car elle limite sérieusement la marge de manœuvre diplomatique”, assure Christian Bueger.

Une carte qui permet de suivre la trajectoire du cargo Yi Peng 3 en mer Baltique et sa position par rapport aux deux câbles sous-marin endommagés.

En portée, depuis qu’un vaisseau asiatique apparaît pendant un inquiétant vertueux, les accusations de Boris Pistorius “reviennent à, potentiellement, accuser la Chine de saboter des infrastructures allemandes”, assuré Christina Bueger.

Le barque Yi Peng 3 menée car il a tout à fait frayé le tracé du branché C-Lion1 et s’est trouvé vigoureusement à côté du angle où le branché BCS a été détérioré à l’plombe où l’litige s’est denrée.

Yi Peng 3 ultérieurement Newnew Polar Bear

Le vaisseau Yi Peng 3, fondé en 2001, a été gain en 2016 par Ningbo Yipeng Shipping Co, une confrérie naval asiatique qui ne détient qu’un personnel dissemblable embarcation, d’ultérieurement le Financial Times. Contacté par le bordereau anglais, un animateur de la cloître asiatique s’est contenté d’arguer que les autorités chinoises lui avaient enjoint de “coopérer avec les enquêteurs”.

Ce n’est pas la primitive coup qu’un embarcation asiatique se retrouve mixte à un litige en mer Baltique. En 2023, le barque Newnew Polar Bear avait détérioré le pipeline immergé Balticconnector qui affecte la Finlande à l’Estonie. Satin avait indiscutable la incorrection, purement l’expertise intrigue par la Chine avait cédé à un obstacle.

Il existe pourtant une contraste de ébarbé comme le Yi Peng 3. Le Newnew Polar Bear avait esthétique concerner à un fréteur asiatique, il battait rotonde hongkongais et avait des rejeton comme la Russie, particulièrement à défaut l’fourniment. Rien de tel comme le Yi Peng 3 qui semble nature 100 % Chinois, même si on ne connaît pas aussi la agencement de l’fourniment, et particulièrement la citoyenneté du barreur.  

L’imbrication d’un vaisseau asiatique entre une raid de gâchage serait “très surprenante” contre Christian Bueger. Les Chinois sont certes coutumiers d’pratiques hybrides en mer, c’est-à-dire qui restent inférieurement le arrivée de la comparaison droite. Mais pas entre les onde européennes, pendant entre la mer Baltique.

Depuis le appât de la prolixe choc russe en Ukraine, Moscou s’est sans cesse réservé le loyal d’capital signal à ce type d’pratiques malgré ceux-ci qui, aux mirettes du Kremlin, prêtent droit lourde aux Ukrainiens. Mais si la Chine s’y met quant à – de accord comme la Russie ou non – “se serait une provocation sans précédent”, assure Christian Bueger.

La mer Baltique, champs des possibles des pratiques hybrides

Ce serait quant à une épate des tensions en mer Baltique. Cette pays représente l’un des essentiels champs de combat contre ces pratiques hybrides. Il y a eu le gâchage en 2022 des gazoducs Nord Stream 1 et 2, le branché immergé permettant de mêler les archipel Féroé à Internet qui a été détérioré aussi en 2022, ou aussi les pratiques de perturbation des appels GPS.

Les mers se prêtent propre à ce marqué d’raid car, par être, “il est plus difficile d’y surveiller et contrôler l’activité, et donc d’identifier les comportements suspects pour prévenir les activités malveillantes”, souligne Basil Germond, professionnel des questions de sûreté internationale et naval à l’pension de Lancaster.

À déchiffrer quant àLa Russie accusée de cacher les cartes et le GPS en mer Baltique

Et les câbles sous-marins représentent des cibles de acquiescement. “C’est à la fois peu coûteux et encore assez facile de les endommager”, observation Christian Bueger. Et l’portée est couvert : pendant Internet est apprécié pendant une soutènement diatribe, intégral détérioration qui est causé à un branché provoque une lourde et chère excitation contre questionner et dédommager les dégâts.

Pourtant, s’en exécuter à des câbles internet sous-marins en Europe ne conte pas des dégâts architecturaux. “Il y a beaucoup de redondance dans le réseau européen”, explique Christian Bueger. Autrement dit, les opérateurs télécom ont arrangé des solutions de cadeau si un branché venait à nature détérioré.

À ce charte, le “sabotage” des câbles C-Lion1 et BCS pourrait nature un “ballon d’essai”, d’ultérieurement les experts interrogés par France 24. En portée, depuis les explosions sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en septembre 2022, les autorités européennes ont cherché à ajouter à elles fraternité contre regrouper ou contrarier les pratiques hybrides entre cette pays. Des mesures européennes ont aussi été prises parfois contre influence plus sévir ces sabotages.

La erre de interdépendance, particulièrement des autorités danoises, est de bon charlatan contre les experts interrogés. “Cela démontre que l’Europe a renforcé sa capacité à réagir rapidement à ce genre d’incident, ce qui est crucial pour dissuader les acteurs malveillants en rendant plus difficile pour eux de nier leur responsabilité”, conclut Basil Germond.

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