Sur le grâce électoral d’une honneur insoupçonnée de Donald Trump, le lucarne de l’estudiantin montpelliérain William Genieys, gérant de apprêt au CNRS en redoute à SciencesPo Paris, politologue et sociologue professionnel de la cloître nord-américaine.
“Comme en 2016, on ne s’attendait pas à une victoire aussi rapide de Donald Trump”, quelques-uns confiait en détonateur de après-midi de ce mercredi 6 brumaire, l’estudiantin montpelliérain William Genieys, gérant de apprêt au CNRS en redoute à SciencesPo Paris, politologue et sociologue professionnel de la cloître nord-américaine.
Les pleins facultés un duo de ans endéans
Encore soufflé, non malheureusement par la empressement lequel généralité suspense a été venté, cependant comme “par l’ampleur de son succès : il gagne tous les États clés et aussi, apparemment, le vote populaire, ce qu’il n’avait pas réussi à faire contre Hillary Clinton. Mais il a aussi la majorité au Sénat désormais, et la chambre des représentants peut rester aux républicains. Si on ajoute à cela la Cour suprême, où six juges sur neuf sont républicains – et Trump aura la possibilité d’en nommer de nouveaux pendant son mandat –, cela signifie qu’il a les pleins pouvoirs jusqu’aux élections de mi-mandat dans deux ans”.
“Un capital émotionnel fort”
Un joie que William Genieys explique capital sûr par “le pouvoir d’attraction électorale extrêmement puissant que développe Donald Trump. Qui cumule à la fois un capital émotionnel fort, qui flirte parfois avec l’irrationnel, et un grand crédit en matière économique. De par sa réussite personnelle, même s’il a aussi connu des échecs en la matière, mais aussi avec le plutôt bon bilan de son premier mandat durant lequel, grâce à son protectionnisme notamment, l’économie américaine avait redécollé. Avant d’être mise à mal par le Covid”.
“Citizen Kane au service d’un populiste !”
Mais remplaçant le Montpelliérain, un hétéroclite intermédiaire a amplement contribué à sa capture hormis sectionnement : “En 2016, il avait massivement utilisé la chaîne Fox News et Twitter. Là, il a pu encore plus s’appuyer sur X, qu’Elon Musk a quasiment mis à son service. C’est Citizen Kane qui met son média au service d’un populiste ! Enfin, il a utilisé ce qui peut être considéré comme la dernière étape de la communication politique : l’intelligence artificielle et les fake news. Avec, là encore, X qui les a largement diffusées sur son réseau”.
A-t-il manqué une grossier à Kamala Harris ?
Mais moyennant naître à oser de contenir ce grâce imprévisible, il faut simplement se estimer comme sur l’déboires de Kamala Harris et des démocrates. Willian Genieys remarque d’voisinage que Kamala Harris, circonstances exceptionnelles obligent, n’a pas participé à une grossier passible à répandre et excuser “un leader, qui suscite l’adhésion. Elle a succédé à un sortant dont l’image était abîmée. Trump, lui, est passé par cette étape-là, et il a balayé en deux mois RonDeSantis et Nikki Halley.”
Les risques de marivauder sur le emplacement de Trump
Puis, relève-t-il, “après un début de campagne prometteur, sa stratégie, en ciblant les États clés et les minorités n’a pas du tout fonctionné. Et puis elle est tombée dans le piège des campagnes électorales menées contre des candidats populistes. Son début de campagne était joyeux, pour créer du consensus, réconcilier les gens, reconquérir les classes moyennes. Puis elle a changé de stratégie avec des attaques ad hominem, pour répondre à celles que Trump assénait inépuisablement. Et pour une Amérique déjà polarisée à l’inique, ça n’a pas marché”.
William Genieys le reconnaît, “face aux attaques qu’elle a subies, face à la rhétorique de Trump, il est dur de rester au-dessus de la mêlée. Mais alors, tu te mets à jouer une partie où il restera le plus fort. Parce que Donald Trump ira toujours dans des surenchères disruptives sur lesquelles personne ne le suivra.”
Comments are closed.