
Jean-Luc Moudenc, substitut de Toulouse, a livré une neuve invasion ce vendredi fête sur le filet sociable X. Son inspirer communal, Samir Hajije, a été très attaqué ensuite qu’il souhaitait aider à une entretien à la Bourse du Travail.
S’agit-il d’une neuve occupation de agression économie visant la maturité municipale toulousaine ? Selon Jean-Luc Moudenc, “Samir Hajije s’est fait violemment tabasser après s’être vu refuser l’accès à une conférence organisée par la CGT”. Le symposium à la Bourse du Travail portait sur la combat du saturé saharien avec l’autodétermination. Le substitut de Toulouse a très censuré ces allure sur le filet sociable X.
Innaceptables coups aggravées par 3 circonstances : en association, plus instrument et sur un élu de la cité.
2ème jour qu’un élu est agressé hors champ d’un “débat” hebergé par la CGT31. Honteux.Prompts vœux de perfectionnement et soutènement à à nous collegue @samirhajije https://t.co/ctjLN1mzqI
— Emilion Esnault (@EmilionEsnault) November 22, 2024
Le fait de la session rapportée au substitut
Jean-Luc Moudenc, que les gens avons contacté, narre la session que son servant lui a rapportée : “il a vu cette conférence et est entré à la Bourse du travail, il est resté 5 minutes sans prendre la parole et a décidé de s’en aller, puisque tous les gens présents étaient sur des positions anti-Maroc.” Alors qu’il tentait de manquer, des créatures identifiés puis abattis du largesse de sûreté CGT l’auraient poli plus attaqué sensuellement. “Il a été roué des coups, a reçu des coups de poing et de pied, et a été étranglé”, honnête le substitut.
L’élu, d’entrée marocaine, serait parvenu plus des amis “pour perturber” aurait bulletin des abattis de la CGT aux policiers qui intervenaient, ensuite qu’il s’agissait d’un “meeting de soutien aux prisonniers politiques sahraouis”. Chassé de la comédie, l’élu aurait “chuté” auraient affirmé des abattis du fédération. Les déclarations des double parties devront personnalité vérifiées par la gendarmerie, comme’une éreintement doit personnalité déposée. Contactée à singulières reprises ce chahut, la CGT n’a pas répondu à nos sollicitations.
Pensée et soutènement à mon servant et ami Samir Hajije.
Les fascistes ne sont pas infiniment iceux que l’on croit ! https://t.co/HWBhqoUau0— Pierre ESPLUGAS-LABATUT (@pierreesplugas) November 23, 2024
La CGT “en pleine dérive” subséquent le substitut de Toulouse
“Si l’enquête confirme que la CGT est auteur, c’est très grave, elle devient actrice des violences” assène Jean-Luc Moudenc, avec qui le fédération est en intacte régression en composant des “meetings politiques”, “provocateurs” et “éloignés des préoccupations des travailleurs”. Il montré le carême de aube du fédération : “nous avons demandé à la CGT des rapports descriptifs des activités développées de la Bourse du Travail qui est un local municipal, elle refuse de nous répondre.” Le substitut envisage-t-il de pousser l’empirisme du meublé à la CGT ? “On regarde tout cela…”
A engloutir quant à :
Un inspirer communal de Jean-Luc Moudenc “violemment tabassé” à la Bourse du Travail de Toulouse, le substitut se dit “profondément choqué”
Ce n’est pas la inauguration jour que des coups éclatent à la Bourse du Travail. En mai 2023, Nicole Yardeni, ensuite adjointe au substitut et primitive présidente du CRIF Midi-Pyrénées, avait été agressée donc d’un événement en assemblée de l’intercesseur franco-palestinien Salah Hamouri. À l’date, les double camps s’présentaient exclu la impératif.

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