Le nettoyage franco-américain qui tient la Donutserie, à Nîmes, s’envole ce coquin environs Boston, aux Justificatifs-Unis. Un peu éloignés de l’entourage électorale jusqu’ici, ils vont absolument irriguer pendant l’entourage postélectorale.
Les valises sont prêtes. Ou voisinage. Victoria et Nefty Santes, gérants de la Donutserie, à Nîmes, atterriront à l’halte de Boston, ce mercredi déclin, environs 22 heures, plombe française. En gris pendant l’entourage (post) électorale mieux aux Justificatifs-Unis.
Leur explication n’a néanmoins macache à percevoir en compagnie de l’référendum étasunienne : Nefty est observateur de anneau, pendant une agglomération ambiant de Boston. De citoyenneté étasunienne, il confie ne pas garder voté. “La Donutserie prend tellement de temps qu’on ne s’est pas vraiment arrêtés pour parler des élections, souffle Victoria, ravie de prendre quelques jours de vacances. On suit un peu la télé et les réseaux sociaux.”
“Ne pas en parler”
Le bain est inquiet, au nation de l’Oncle Sam. “On a des amis là-bas qui nous ont dit de ne pas en parler !, sourit Nefty. Il y a une différence énorme entre les candidats et l’élection est tellement serrée ; ça monte, ça descend, en fonction des états qui peuvent faire pencher le résultat d’un côté ou de l’autre.” Face à ceci, paire attitudes : “Certains en rigolent, d’autres le prennent vraiment à cœur.”
“J’apprécie certaines idées de Donald Trump”
Et le nettoyage, lui, a-t-il tranché ? “En tant que business owner (entrepreneur) à l’étranger, j’apprécie certaines idées de Donald Trump, notamment le fait qu’il veut arrêter la double taxation”, argumente Nefty. Aujourd’hui, les paire entrepreneurs nîmois doivent de ce fait avouer à eux monogramme d’sociétés à l’régie fiscale des Justificatifs-Unis. “Trump a obtenu de bons résultats sur le plan économique lors de son premier mandat. Les États-Unis sont un pays capitaliste, certains préfèrent que le président représente le pays.”
“Kamala Harris serait la première femme à la tête des États-Unis”
“D’un autre côté, Kamala Harris veut doubler le smic fédéral américain (minimum wage). Et beaucoup de gens sont contents parce qu’elle serait la première femme à la tête des États-Unis.” “C’est difficile de donner un avis, on n’est pas trop politiques, admet Victoria. Ceci dit, on en discutait avec mon papa et ma belle-mère, lundi : Trump a une image supernégative en France, plus qu’aux États-Unis. Là-bas, les avis sont plus partagés.” “On est pour celle ou celui qui tiendra ses promesses, résume Nefty. L’important, c’est qu’on change de président, au moins !” Une paquet perdue avec Biden.
Quant à l’bout du dépouillement, Nefty et Victoria ne savaient pas mieux, au départ de à eux appareil, s’ils atterriront pendant un nation républicain ou démocrate.
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