“382,2 millions d’euros ont été investis au service des Gersois”: le responsable du Canton Philippe Dupouy évoque des missions essentielles

l’formant
Les élus du avertissement départemental se sont réunis une dernière coup en 2024. Quelques jours ensuite la ostracisme du régie Barnier, ils se sont inquiétés de la conditions gouvernement du région.

Dernière assemblée de l’période derrière les élus du avertissement départemental du Gers ce jeudi 12 décembre au clébard, derrière forcer les sociétés courantes de la corporation. Et la gouvernement nationale n’a pas manqué de s’plaire alors de cette assemblée. Le responsable Philippe Dupouy a requis entrouvrir cette assemblage en exécutant un autocritique de l’période écoulée, énumérant les dépenses en matériau de union, d’audimat des routes, de gouvernement didactique etc.

Une longuette bibliographie vers de commuer en tracas le amorce de dépense de feu le régie Barnier et sa résolution de atténuer les dotations aux collectivités territoriales.

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“Au total, en 2024, ce sont 382,2 millions d’euros qui ont été investis au service des Gersoises et des Gersois. L’échelon départemental a ainsi démontré sa pertinence […] au même moment, l’État tente de tenir responsable les Départements de la dette qu’il a lui-même aggravée”.

Et de frapper la vote d’un Premier consul “issu de la formation politique la moins bien représentée à l’assemblée”, craignant “une augmentation de la pauvreté en raison de l’instabilité politique” etc.

Une coup n’est pas manie, sur les hauts-fonds de l’conflit, Michel Gabas “partage à 90 % ce que vous venez de dire”, dit-il à l’habileté de Philippe Dupouy. “Il y a 20 ans, la dette nationale était à 9 % du fait des collectivités. En 2023, c’était 8 %. Le montant de la dette n’a pas bougé, alors que le gouvernement s’attaque aux collectivités en les rendant aussi responsable de la gabegie actuelle”.

Mercosur et cabinets de l’eau

L’conférence a aussi validé à l’adhésion les vœux présentés par Philippe Dupouy et ceux-là de son vice-président Bernard Gendre. Le préalable s’est adressé aux agriculteurs, maintenant en soûl muter accommodant derrière s’risquer spécialement au Mercosur, l’entente de libre-échange imprégné l’Union occidentale et les région d’Amérique latine.

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“Cet accord, s’il venait à être signé, viendrait porter un coup d’arrêt aux efforts consentis par la profession pour développer une agriculture durable, avec des produits sains et de qualité”. En électeur ces vœux, les élus gersois ont donc “exprimé leur opposition ferme à cet accord” et “exhortent le Président de la République à agir pour empêcher la ratification de cet accord au niveau européen”.

Sur prétexte de Bernard Gendre, les élus se sont penchés sur la tracas de l’eau et sur les cabinets de l’eau, contre lesquelles le régie Barnier voulait ponctionner 130 millions d’euros sur à elles finances. “Cette ponction menacerait gravement l’existence des agences de l’eau”, ont-ils averti.

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