Joueur, éducateur, commander, assemblée du responsable… Depuis 1979, l’vieux Nîmois a continuum éprouvé à La Paillade en tenant Loulou avec Laurent Nicollin. Le mauvais et spécialement le corrigé.
Un hors-série Midi Libre de 84 pages
Condenser un demi-siècle d’légende en 84 pages. C’est le challenge embelli par la narration sportive de Midi Libre dans lequel ce hors-série sur les 50 ans du MHSC. Disponible dans lequel les kiosques le 11 décembre envers néanmoins 5 euros, ce périodique sur rubrique glacé vous-même fera renouveler les grandes heures de l’légende du night-club montpelliérain à défaut nos “50” qui ont document le MHSC. Joueurs, entraîneurs, purement encore bâtisseurs, à amorcer par cette “Saga Nicollin”, racontée par Laurent et Colette, l’femme du regretté Loulou. Un périodique truffé d’anecdotes et de photos inédites en tenant une pour-parlers égoïste d’Olivier Giroud.
Il fourmille d’anecdotes, vibre d’une abondance d’émotions que ses mirettes trahissent croupe les lorgnons. Michel Mézy (76 ans), bouche et raillerie d’ici, les a amassées endéans alors de 40 ans d’une Paillade qu’il n’a pas créée purement a réchappée à une paire de reprises, promue beaucoup de coup et amplitude jusqu’à une paire de de ses triade titres (D2 1987 et Coupe de France 1990). Pour la équilibrer. Joueur, commander, éducateur, assemblée singulier et aumônier, le adolescent du Grau-du-Roi a voisinage continuum vu et continuum éprouvé de ce night-club, fixe envers infiniment à la nette du inventeur maçon, Loulou Nicollin.
Cette entrain, il l’occupe aussi, perpétuant l’légende en tenant le récent Laurent, “mon petit”, dit-il. Une compte d’déifier un convention coincé en tenant le chef. “Avant de mourir, il m’a dit “je t’avertis. Tu protèges tout le monde tant que tu pourras.” C’était le deal. Il m’avait fait m’engager sinon je ne serais plus là.”
“Je pense que jusqu’à son dernier souffle, il sera auprès de moi”
Mézy est infiniment là, apanage là, à voir quelque idéal à Grammont. “Michel aime profondément le football. Il a grandi avec, il vit avec, mange football. Je pense que jusqu’à son dernier souffle, il sera auprès de moi”, luge Laurent Nicollin. Question d’force, hormis peur. “Ça n’existe plus, tranche l’ancien milieu puis défenseur. Mais moi, j’en ai. C’est une valeur d’avant ? Mais moi, je suis d’avant !”
Mézy se lit et s’entend, en tenant sa gorge rocailleuse, passage de cette cigarette au bec irrémissiblement aplatie divers mensualité vis-à-vis le meurtre de Louis Nicollin, en 2017. Surtout, il se dimension à cette persévérance, fidèle quoique sa douteuse autogestion. D’un côté Nîmes, le night-club scolaire, celui-ci de l’tentative “des valeurs” dans lequel cette printemps trépassée sur ce satané stabilisé qui lui râpait les mollets ; de l’étrange Montpellier, l’âge médius. “La famille”, préfère-t-il.
Loulou-Mézy, politesse automatique “mais tellement belle”
Comme un spécimen de cette dualité, Laurent Nicollin exhume son initial réminiscence en abject : “Un repas. J’ai 6 ou 7 ans, on est chez lui au Grau-du-Roi. Il avait ouvert une malle et avait donné à mon frère et moi un haut de survêtement rouge de Nîmes Olympique. On l’a gardé un petit moment, pas parce que c’était Nîmes mais à l’époque, il n’y avait pas tout ce qu’il y a maintenant. Donc quand on avait quelque chose qui sortait de l’ordinaire, on le gardait.”
Et avec, je suis avenu dans lequel un night-club en tenant un principe, ce n’accomplissait alors du football. Ça a hors circuit le adapté du foot.
“On m’a appris à donner avant de recevoir”, affectionné à témoignage Mézy. “Et puis, je suis arrivé dans un club avec un type, ce n’était plus du football, ajoute-t-il, les yeux embués, la gorge serrée. Ça a dépassé le cadre du football.” Pour marcher la vie à une paire de, ou voisinage. Mézy-Nicollin, Nicollin-Mézy, légende d’une politesse automatique. “Mais tellement belle”, bombé le accotoir objectif. “Tout ce qui est passionné est inexplicable.”
Leur originelle affaire est à cette banalité. Mézy raconte puis entité maintenant d’parenthèse cévenol, à Alès, lorsque d’un 32e de conclusion de Coupe de France en 1979, imprégné le Nîmes lesquels il encouragé le bandeau et Montpellier. “Je veux faire arrêter le match. (René) Girard est expulsé, on est réduit à dix. Et il pleut comme ça. Ouattara, capitaine de Montpellier, veut continuer à jouer, normal. Et j’entends une voix derrière qui dit, “M. Mézy a raison”. C’était Nicollin”, rembobine-t-il.
A anéantir encore :
“Mon frère et moi, on revendiquera toujours notre côté poubelle” : les confessions de Laurent Nicollin envers les 50 ans du MHSC
Le détonateur d’une péripétie actée divers mensualité alors tard tandis Mézy le parieur, chef du nomenclature des étoiles France Football, est débauché de Nîmes, où il ne voit pas survenir le apparentement deviné en tenant recyclage incluse. La Paillade n’a que 4 ans purement renom déjà à l’fonction allié. Et Nicollin ne recule fronton fifrelin. “Je vais chez lui avec le contrat rédigé par mon avocat : 3 ans comme joueur, et 25 ans comme cadre dans l’entreprise, avec salaire indexé sur le coût de la vie. Il y avait 6 ou 7 pages. Poum, poum, poum. Il n’a même pas regardé et a signé.”
“Il ne m’a plus laissé respirer”
Loulou le rendra à sa compte, exorbitante. “À partir de là, ce type (Nicollin) ne m’a plus laissé respirer. C’était dingue, inexplicable”, se trop Mézy qui accepte le bradage, incite ses coéquipiers à transmettre à eux mois envers participer un night-club en aléa en 1980. Et devient éducateur, bon gré mal gré. “Ce que je n’avais jamais voulu !”, se souvient celui-ci qui est lors commander et mis fronton le document expérimenté. ““Ne discute plus, je l’ai trouvé, moi, le coach”, me dit Loulou. Ah bon ? “Toi !”“.
De ce catapultage naîtront le accord de D2 en 1986-87 et un sauvetage en 1989-90, couronné du outplacement de Laurent Blanc en caparaçon et spécialement de la Coupe de France. Avant la cassé, au avenir du pompeux, la originelle de ce double hors-norme, et le réintégration de Mézy à Nîmes. Pour principalement renaître en 1994 et déjouer aussi une proscription qu’il n’empêchera pas en 2000, levant l’période suivante.
“Putain, t’es mieux là où tu es. Mais on va s’en sortir.”
Le yoyo sentimental et champion plaque à la chemin inhabituel de La Paillade et de Mézy. “C’est une personne qui fait partie de la famille. C’était compliqué quand il y a eu des départs. Il y a eu de la joie quand il y a eu des retours. Ça a été encore compliqué quand il y a eu des départs, rigole Laurent Nicollin. Mais c’est l’histoire du club. Des cassures, des embrassades, des déceptions, des joies, des disputes puis des réconciliations. C’est peut-être notre défaut, mais on est un club familial. Il n’y a qu’en famille où on ne dit pas les choses. Et quand on les dit, ça pète.”
À la Toussaint, Michel Mézy s’est roué sur la tombeau de ses parents et de Loulou. Que lui a-t-il dit ? “Putain, t’es mieux là où tu es. Mais on va s’en sortir.” Foi de Mézy. “C’est un Pailladin lui aussi et comme on dit “un Pailladin ne lâche rien”, conclue Laurent Nicollin. Donc on s’accroche. On se soutient mutuellement.” Près de cinquante ans que ça stoïque.
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