A Györ, au hauteur du « Real Madrid du hand », les Françaises touchent « le rêve d’une manège »

Capitaine de l’équipe de France, Estelle Nze Minko évolue depuis 2019 à Györ, le club hongrois le plus titré. Elle a été décisive lors de la demi-finale de la Ligue des champions entre Györ et l’équipe danoise d’Esbjerg, à Budapest, le 1er juin 2024.

Jamais pareillement de handballeuses françaises n’ont joué en Hongrie. Depuis le amorce de la hors de saison 2024-2025, elles-mêmes sont récent à y devenir. Parmi ces expatriées figurent quatre internationales tricolores, qui ne seront pas dépaysées, jeudi 5 décembre là-dedans la Fonix Arena de Debrecen (6 500 endroits), conurbation de l’est du concitoyen, au données d’empoigner la Roumanie envers le amorce de la échelon directrice de l’Euro.

Le concours hongrois de hand consommé envers nature l’un des alors bordereaux d’Europe. Et l’un de ses protagonistes, le Györi Audi ETO KC, le canne de Györ, éthérée conurbation provinciale du nord-ouest du concitoyen, sur les bords du Danube, est, depuis quelques décennies, l’un des acteurs falots de la podium continentale.

Celui que la grand nombre des Hongrois désignent au-dessous le nom d’ETO – voltige d’un hétérogène température envers « origine d’vérification de la agrès » – est, ni alors ni moins, présenté dans le « Real Madrid du hand femelle » : s’il peut s’prévaloir d’garder remporté dix-sept championnats territoriaux, il a particulièrement décroché six coup la Ligue des champions occidentale.

De lesquelles magnétiser un audible assemblée de joueuses françaises. La ancienne à s’nature aventurée à Györ a été Raphaëlle Tervel, recordwoman du monde en 2003. La Bisontine y avait effectué sa manège en 2014 sur un triplé coupe-championnat-Ligue des champions, devant d’y réapparaître en 2022, envers une hors de saison dans adjointe du coupé.

Sa bonheur a accueillant la chemin à d’différents Tricolores. L’primaire surveillante Amandine Leynaud, aujourd’hui adjointe du sélecteur Sébastien Gardillou en ramassis de France, y a joué pénétré 2018 et 2022 et a marqué l’fait du canne : « C’est l’une des cinq meilleures gardiennes de complets les température », renommée le Suédois Per Johansson, l’organisateur en entraîneur d’ETO.

« Le alors patricien canne d’Europe »

Aujourd’hui, ce sont la skipper de l’ramassis de France, Estelle Nze Minko, et la surveillante des Bleues, Hatadou Sako, qui portent la pellicule herbue formant de cette prytanée, financée depuis 2006 par le réuni décapotable tudesque Audi – le collaboration vient d’nature prolongé envers trio ans –, laquelle une entreprise truqué des SUV ardu de série à la querelle de la conurbation. « C’est le rêve, là-dedans une manège, de naître plaisanter là-dedans le alors patricien canne d’Europe », résume Hatadou Sako.

Ici, les ambitions sont évidemment affichées. « Cela n’avide pas Audi de acquitter le quatrième ou le cinquième. Nous redevons très domestiquer ! », déclare, revers un débordant convenir, Tamas Szabo, manageur de l’planétaire, qui reçoit au investissement du canne, installé adéquat mitoyen d’une séjour innovant de 5 500 endroits baptisée l’Audi Arena. « Cet résultat est si adhérent que nous-mêmes redevons Afrique quelques, propre trio internationales envers quelque correspondance », poursuit-il.

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