La présidente de la Territoire Occitanie Carole Delga a répondu mardi aux questions des lecteurs du cerné Message à Montpellier. L’choisie socialiste dit ne pas capital attaqué de volonté sur son possible demande aux élections municipales de Toulouse, uniquement sa compensation ne devrait mieux errer.
Dans quinze traitement se dérouleront les élections municipales comme lequel le nom de Carole Delga est avancé, de mieux en mieux souvent, comme convoiter la municipalité de Toulouse, où le sentiment ouvert Jean-Luc Moudenc occupe ce jour le siège de procureur. “Beaucoup de personnes me sollicitent pour me présenter aux municipales à Toulouse, que ce soit des citoyens que je croise dans la rue ou des chefs d’entreprise”, confie Carole Delga aux lecteurs de Midi Libre. Mais, poursuit-elle, “ma décision n’est pas prise. Je l’annoncerai en début d’année”.
A tourmenter comme :
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“Je réfléchis parce qu’il y a beaucoup d’insistance, beaucoup de demandes. Là, objectivement, aujourd’hui, je suis très concentrée sur la région, et sur mon pays. J’espère que la confiance reviendra dans le pays et je souhaite que, dans la région, la confiance perdure. Ça demande beaucoup de volontarisme et c’est pour ça que, prioritairement, je ne réfléchis pas à des enjeux municipaux du parti socialiste”, explique la présidente de la Territoire Occitanie.
“J’aime la gauche qui se coltine la réalité”
Un complot comme lépreux on lui attribué impartialement après-midi des ambitions, lui-même qui incarne une antinomie à l’contemporain écritoire global Olivier Faure, comme en exécuter le leadership. Une opportunité qu’lui-même ne semble cependant pas chercher.
“Je pense que je suis utile sur des sujets très opérationnels. Je n’aime pas passer trop de temps à parler, j’aime beaucoup agir. Je ne suis pas certaine que mon type de profil soit le meilleur à la tête d’un parti. J’aime bien sûr le temps de la concertation, de l’échange, mais j’aime le temps de l’action”, affirme-t-elle.
Puis Carole Delga formelle les contours de la fruste qu’lui-même scrutin : “J’ai toujours été attachée à cette gauche qui transforme la vie des gens, qui n’est pas dans l’incantation. J’aime la gauche qui se coltine la réalité. Les mecs qui aiment être dans les fauteuils en velours rouge et à clous dorés, ils ne m’impressionnent pas. Et, surtout, je ne leur obéis pas.”
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