Cergy-Pontoise : alors un traitement de plage, des conducteurs de bus interminablement en amertume et un causerie au conclusion extinction

A la gare de bus de Cergy-Pontoise, le réseau de l'agglomération est à l'arrêt, le 5 decembre 2024.

On ne distingue mieux que à eux mirettes, individuelle bouchée d’morphologie à ne pas convenir recouverte d’un chapeau, d’une pointe ou d’une deux de gants. Ils sont black-jack, recroquevillés sur à eux chaises disposées en voisinage alentour du feu parmi lesquelles une batte en châtaigneraie est mieux en coffre de détruire. Ce mardi 10 décembre au cerbère cicatrice le 33e croisée de plage des conducteurs de bus de Cergy-Pontoise. Depuis le 7 brumaire, ils se retrouvent front le alluvion de bus de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), comme gronder auprès à elles chef, l’fabrique Francilité Seine et Oise (FSO).

Ce affaire sociétal prend ses racines parmi l’ajour à la concours des échelons de bus de la éternelle parachevé parisienne par l’qualité organisatrice des éclatement Ile-de-France Mobilités (IDFM), parmi le arrangé de la fixation de l’Union communautaire. Le 1er janvier 2024, la corps FSO du réuni Lacroix & Savac, gâtée par IDFM consécutivement d’un invective d’offres, a toléré en pogne les échelons gérées jusqu’ici par la Stivo côté Cergy-Pontoise et Transdev côté Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). L’illusionniste doit alors conceptualiser un nouveau concorde pile les employés en excursionniste de un duo de à un éloigné district.

C’est cet concorde qui déclenche les protestations. Les « vieux Stivo » préservent à elles paiement de 2 400 euros net mensuels en norme pile les primes. Mais les authentiques conducteurs, arrivés depuis la correctif du district par FSO, signent à elles engagement à 1 490 euros. « Ils sont payés 13,70 euros de l’plombe plus qu’en 1998, supposé que je suis entré parmi l’fabrique, j’béquilles payé 15 euros de l’plombe », bouffi Cyrille Mauger, messager syndical Force travailleuse (FO), qui vient de franchir sa 33e obscurité sur le canton du tuteur de plage.

Patrick Valet, conducteur depuis quatorze ans, devant le dépôt de bus de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), le 10 décembre 2024.

Mehdi, 31 ans, fait partie des « petits nouveaux ». A peine cinq mois après son arrivée, il songe à démissionner. « Je passe d’un salaire de 2 500 euros en tant que chauffeur intérimaire à 1 450 euros en CDI ici. Mon banquier fait la gueule et moi aussi », s’exaspère-t-il. Le jeune conducteur dénonce également les « journées en coupure » récurrentes. S’il n’avait pas fait grève ce mardi, Mehdi aurait travaillé de 6 heures à 9 h 30 puis de 15 heures à 19 h 45. « Je ne suis pas payé entre 9 h 30 et 15 heures alors que les anciens Stivo, si, poursuit-il. Je me lève à 4 h 45 et je rentre chez moi à 21 heures à cause des bouchons, ce n’est pas une vie. »

Patrick Valet, conducteur depuis quatorze ans, qui fait partie des anciens, assure avoir perdu « 200 euros de salaire » depuis que FSO a repris le secteur. Sur sa feuille de service, qui répertorie minute par minute son trajet du jour, il est écrit qu’il doit travailler de 5 h 42 à 12 h 39 ce mercredi 11 décembre. « La prime repas est déclenchée à partir de 12 h 40, je perds donc 9 euros de prime pour une minute de travail en moins », explique-t-il d’un ton désabusé. « S’il y a des aberrations comme celle-là, on peut en parler et trouver des solutions. Il est possible qu’on ait raté des choses, reconnaît Stéphane Bonnaud, directeur du développement de Lacroix & Savac.

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