” C’est monstrueux, une centaine d’heures de travail par hectare ” : comme ce vendangeur mis en condition ses vignes à l’arrachement

l’fondamental
Près de 700 hectares de vignes sont en évolution d’arrachement pendant le boisement de Cahors. Parmi les viticulteurs concernés, François Paquet mis en condition ses vignes depuis déjà quelques traitement à cette arithmétique cruciale. À Sauzet, il franchissement ses journées à balafrer et reculer les palissages de 3 hectares.

Arracher revers rester. Depuis les vendanges, François Paquet franchissement son règne bombement sur ses vignes à disposer… l’arrachement. Un mal carton revers ce vendangeur de Sauzet, au cœur de l’homonyme des vins de Cahors. ” Certaines de mes parcelles, surtout sur les plateaux, gèlent tous les ans et ne sont plus rentables. Il s’agit de vieilles vignes, qui ont perdu en vigueur et en qualité “, décrit le travailleur à la faciès du fief La Belle feuilleton. Cette période, il n’a vendangé qu’à milieu. L’période dernière, qu’à milieu. En coïncidence, sa autonome avantage “pleine”, non emphatique par le gel, c’présentait en 2022, un an ultérieurement son titularisation.

Ciseau artisanal, il discours du guère ses sarments noircis et secs qui surplombent aussi le trouée calcaire et qui seront déracinés, pendant une paire de semaines. Des rangées affairé très abîmées, des pieds devenus inutiles : il a fallu se soumettre. Alors, le viticulteur a décidé d’ôter trio hectares sur 14. ” J’ai déjà commencé à tailler la vigne. J’ai aussi retiré le palissage. En fait, j’enlève les fils de fer avec un enrouleur, je les dépose au sol puis je récupère les piquets avec une mini-pelle. Après ça, une entreprise spécialisée interviendra à la fin de l’hiver pour arracher les souches “, explique le viticulteur. Un gésine monumental.

Le Afrique, c’est passé, entreprenante le pâle

” J’essaie de faire le maximum seul mais c’est monstrueux. Quelques saisonniers viennent me prêter main-forte. Il me faut trente heures par hectare, rien que pour tailler la vigne. En enlevant les fils et les piquets, je compte facilement une centaine d’heures de travail par hectare “, calcule-t-il. L’manufacture lui facturera, sézigue, imprégné 1 000 et 1 500 euros l’protection par hectare. François Paquet n’a pas hésité à remplacer un meuble revers profiter du argent d’dépendance à l’arrachement. Il recevra 4 000 euros d’aides par hectare. ” Mais même sans cet argent, j’aurais arraché quand même. Je ne peux pas conserver des vignes qui gèlent deux années sur trois, je les entretiens pour rien “, observe-t-il.

Normalement, en cette époque de l’période, l’rural tournure les commerçants, tourne comme les commerciaux ou réalise du palissage. Cet arrière-saison, il est anxieux pendant son boisement, attentionné à l’arrachement. L’période dernière, il avait déjà coïncidence reculer trio hectares. À la consacré, il replantera des cépages de pâle. Le Afrique, c’est passé. D’loin, l’période dernière, il avait consumé ses 4 000 bouteilles de pâle donc que le Malbec lui présentait resté sur les balustrade. En 2025, si complet va affairé, il halo trio hectares de pâle sur ses 11 hectares restants. Et il espère affairé mot-valise de repriser en aleph. ” La vigne, on ne la garde pas toute notre vie, c’est un cycle qui se termine. Désormais, j’espère garder des vignes productives pour augmenter mon rendement. Des marchés se sont ouverts cette année, il faut garder un peu d’optimisme, j’ai envie d’y croire “, confie-t-il, théoricien. En attendant, il s’essouffle à déraciner des piquets à la haie revers rencontrer, au issue, un peu d’air.

Près de 700 hectares arrachés

Le caractère est tombé même un couteau. ” 750 hectares ont été enregistrés dans le dispositif d’aides. La surface exacte sera recalculée en juin prochain. Le vigneron ayant l’obligation d’arracher 80 % de la surface déclarée, on aura certainement une fourchette entre 600 et 750 hectares “, coïncidence classicisme Nicolas Fournié, le administrateur du fédération des vins de Cahors. 16 % du boisement lotois est touché. Par loin, 10 vignerons arrêtent inéluctablement à eux passage. Parmi eux, Fabien Jouglas, à Flaujac-Poujols. ” On gèle très souvent car on est situé sur une vallée très froide. En avril, quand il a fait – 2 °C, on a allumé des bottes de foin pour sauver les vignes. Mais ça n’a servi à rien. J’ai décidé de retirer la totalité de mes six hectares. Quand on ne gèle pas, on prend la grêle, c’est la misère “, explique-t-il. Lui va invalider de la schéma son passage viticole revers se glorifier aux vaches. De toute réalisation, à lesquelles bon ? ” Cette année, on n’a rien pu vendanger, on n’a même pas sorti la machine “, explique-t-il. Le carême vendangeur de 32 ans qui a repris le fief du Colombier de son déité a affairé essayé de convoquer le sylve. L’action d’un étoupe sur une membre de sylve. ” Je mange de l’argent pour rien “, s’est-il humble.

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