Cumul des procurations : “Nous ne pouvons plus continuer avec des parlementaires absents !” Quand François Bayrou voulait y aménager fin

l’formant
Le bizuth Premier nonce s’est dit affirmatif à une ré-autorisation du ajout des procurations pile les parlementaires. François Bayrou n’a pas assidûment fluet cette sentiment, alors le montrent les archives de l’Assemblée nationale…

François Bayrou veut conduire bazar dissout sur le ajout des procurations. “On s’est trompé en (rendant) incompatibles les responsabilités locales et nationales, c’est une erreur”, a précis le Premier nonce ce lundi 16 décembre antérieurement le pourparlers communal de Pau, lesquels il restera le substitut. Il a annoncé que cette difficulté figurera là-dedans son allocution de négociation avant-première.

“La République nouvelle doit adopter le principe du mandat unique”

Il avait déjà posé cette “question lancinante”, il y a 19 ans, soupirail pile soupirail, lorsque d’un allocution à l’Assemblée nationale sur “l’évolution nécessaire des institutions de la Ve République”. À l’circonstance, celui-là qui subsistait médiateur et monarque de l’Union des Démocrates Français (UDF) préparait sa postulation à l’consultation présidentielle de 2007. “Nous ne pouvons plus continuer avec des parlementaires absents ! Nous ne pouvons plus continuer à délibérer avec un ou deux pour cent de la représentation nationale. La République nouvelle doit adopter le principe du mandat unique pour les députés de la nation”, avait lorsque précis François Bayrou.

Pour absoudre sa sentiment, il se prenait en esquisse : “Je connais les joies et les richesses du cumul républicain. Je ne les sous-estime pas. J’ai été président de Conseil général en même temps que député, et même ministre, pendant des années, presque dix ans. J’ai beaucoup aimé cela. Naturellement, c’était exténuant, mais intéressant, enrichissant. Simplement, ce n’est plus le temps que nous vivons“.

“Nous sommes entrés dans des temps plus exigeants”

Et le médiateur d’discutailler : “Cela empêche de s’investir calmement dans une tâche, de prendre les repères, les habitudes et les marques du débatteur et du législateur”. Tout en mémorable iceux qui avaient abusé du ajout des procurations. “C’est vrai que les Mitterrand, Chaban, Lecanuet, ont été de grands cumulards. Mais le temps acceptait que le patron surveille de loin, se contentant de choisir ses collaborateurs, et arrêtant seulement les grandes options, un ou deux jours par semaine. Ce n’est plus l’époque. Nous sommes entrés dans des temps plus exigeants”. Des plaidoirie aux antipodes de iceux que tient désormais le bizuth Premier nonce.

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