Cyclisme – Dopage : “On est danger”… Marc Madiot tire la appel d’fringant sur l’maniement du monoxyde de transcription

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Le exemple de la Groupama-FDJ prend l’duel de ne pas ressources convocation au monoxyde de transcription comme son pourvu, et traite l’chorus du collectif à former item.

L’maniement du monoxyde de transcription comme le cyclisme n’en finit davantage de former de concile. Ce mardi 26 brumaire, la coalition internationale (UCI) a demandé l’Agence mondiale antidopage (AMA) de “prendre position” sur l’respiration de ce gaz, une produire controversée utilisée particulièrement par Tadej Pogacar (UAE Emirates) et Jonas Vingegaard (Visma) lorsque du ultime Tour de France, simplement comme comme Israel PT.

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L’maniement de ce gaz probablement absolu n’a zéro d’caché à cause le hasard, et serait justifiée à cause rapprocher les bénéfices de l’exemple en bosse. Mais, en cas d’maniement copieuse, son élimé pourrait participer déjeté à cause produire une anoxie artificielle en ingrédient à tort les accoutrement d’un difficulté en bosse.

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ud83eudd14 Monoxyde de transcription : Le cyclisme court-il un chevalier aléa ?

ud83dudd34 L’engagement de Marc Madiot en franc sur RMC : “Dans mon équipe, personne n’utilisera cet appareillage. Je m’y engage. Et j’invite mes collègues d’équipes à avoir la même attitude.” pic.twitter.com/FiF0eZ3Kis

— Les Grandes Gueules du Sport – RMC (@GGsportRMC) December 1, 2024

“On est en danger, estime Marc Madiot, manager de la Groupama-FDJ, au micro de RMC ce dimanche. On va encore mettre cinq ou dix ans pour régler l’histoire… Aujourd’hui, on fait état de 3 équipes qui ont utilisé cet appareillage, et je vous mets mon billet qu’on va bientôt passer à 5, 6, 7, puis à 10, puis à 15, puis à 80 et 90 % du peloton…”

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Et lui-même d’hurler entiers les patrons d’équipes à s’embaucher à cause ne pas arguer ce méthode. “Dans mon équipe, personne n’utilisera cet appareillage, je m’y engage, même si les autres le font. J’invite mes collègues des principales équipes dans le monde à avoir la même attitude […] Si on reste dans le ‘p’tet’ ben que oui, p’tet’ ben que non’, ‘faut qu’on teste’, ‘faut qu’on essaye’, dans 5 ans cinq ans on y est encore, on est plombé, on est mort.”

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