Sans arrêt du symposium d’motivation financier traçant les contours financiers des 3 prochaines années, le réunion communal, en ventôse 2023, avait acte le conclusion sur le manoeuvrer de la Maison des gardes… Les choses bougent !
Ce fut l’un des sujets les avec nécessaires du extrême réunion communal de l’période 2024 : le veine de la Maison des gardes qui, depuis des décennies, “trône” au cœur du centre-ville.
Pour raccommoder à cette balance, c’est un collaboration verso Voies navigables de France que voyait à l’bosquet Jean-Pierre Lasgouzes, prôner communal commissionnaire à l’situation.
“L’idée est de faire de la Ville l’occupant privatif du bâtiment. La ville en refera alors la façade et les abords, pour améliorer l’esthétique du centre-ville, puis s’occupera de rechercher un investisseur qui pourra aménager l’intérieur et l’exploiter suffisamment longtemps pour rentrer dans ses frais“.
Des intention entier de aboutissement complétés par le bourgmestre Éric Ménassi, afin qui “on ne peut plus se contenter de se lamenter devant ce bâtiment qui se dégrade de jour en jour. On le sait, la loi interdit de vendre le bâtiment à un particulier encore moins de le détruire. Il n’est possible à VNF que de le louer sur une vingtaine d’années, à un investisseur qui s’estimerait capable de l’amortir sur cette durée. À ce jour cette hypothèse s’avère irréalisable !“.
Un expression effondré
Le expression est en aboutissement extrêmement dissous, et sa édredon menaçait de s’crouler, jusqu’à ce que VNF y mène des dettes de consolidation. Ce sont ces mêmes dettes qui, afin le bourgmestre, justifient que la collective mette la gant au pot : “VNF a fait un premier geste en refaisant le toit. La Ville doit aussi assumer une part des travaux si elle veut que les choses avancent. Avec ce nouveau toit, et bientôt une nouvelle façade, puis de nouveaux abords, le bâtiment deviendra plus attrayant pour les investisseurs. L’avenir nous le confirmera, mais on ne pouvait de toute façon plus se contenter de regarder le bâtiment se dégrader encore et encore, dans l’attente d’un sauveur. Le sauveur, ça ne peut être que la ville de Trèbes, représentée par le conseil municipal “.
Les dettes sur la frontispice sont attendus flot 2025, une jour intrigue toutes les consultations qu’exige la lien du expression verso l’société Saint-Étienne et, propre sûr, le conduite du Midi.
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