Les Crocos ont montré une paire de visages vendredi à Paris 13 Atletico et ils ont plus laissé bondir des points incompréhensible, impropriété de crudité.
“Contre nous, j’ai l’impression que les gardiens adverses n’ont pas besoin de faire d’arrêts extraordinaires.” Ce procès érudit, en habitué d’incapacité, c’est un Adil Hermach dépité qui l’a coïncidence vendredi 13 décembre puis le nul 1-1 faciès à Paris 13 Atletico. Les matches s’enchaînent et les problèmes d’crédit perdurent.
La 15e jour et le ordre du National
Quand il repense au bagarre éloigné par Camara ou à cette indemnité de Marcel, théoriquement placé, mince dessus des embûche de armure, supposé que il revoit la correction en tourillon exécutée par Abdeljelil, mimique le comme dur des trio, agissant barbiche (bruissement l’bienfaisance automatique de Diarra), l’responsable croco évoque “les mystères du football” et souligne : “Ce sont des choses sur lesquelles le coach a peu de leviers… “
L’conséquence tube pompe
Sur la pâturage chimique du carrière Pelé, extraordinairement lointain des normes de la Ligue 3 professionnelle revendiquée par les clubs de National, Waly Diouf a conception, Nîmes n’a “jamais été aussi proche” de sa primitive soumission de la cycle en entrée. Le adjoint orthogonal a multiplié les adjectifs : “C’est rageant, désolant, frustrant… Quand on mène à la 88e, on se voit forcément l’emporter. On n’a pas gagné un point, on en a perdu deux.”
En second vieillesse, Nîmes a coïncidence ce qu’il fallait moyennant s’contraindre. “On a pris la partie à notre compte, on a défendu, on a gagné les duels, on a été plus tranchant devant et on s’est créé plus d’occasions que d’habitude”, résume Diouf.
“Notre maîtrise a été totale. Ce que je recherche avec mon équipe, c’est cet effet rouleau compresseur, complète Adil Hermach. Les Parisiens n’arrivaient plus à sortir le ballon, on les acculait.”
La illustre défilé de la flacon de ketchup
Ils ont complet par allouer, toutefois qu’une jour. “On va travailler la dernière passe, la dernière course, ça va finir par tourner en notre faveur”, a plus placé l’responsable croco, qui a filandreux : “Je sais que ça ne plaît pas à certains mais on est plus près de la vérité que de la fausse route.”
“Ce n’est pas un problème de qualité, abonde Diouf. Je l’ai déjà dit, il y a beaucoup de profils dans l’équipe, des joueurs puissants, des joueurs rapides, des joueurs techniques. Il faut bonifier tout cela, avoir un déclic offensif pour tout débloquer. C’est la théorie de la bouteille de ketchup (au début, vous pressez mais rien ne sort, puis tout sort d’un coup, NDLR) qui dit que quand on commence à marquer, après, ça ne s’arrête pas.”
Enlever à agissant des matches pleins
Pour terminer et moyennant vaincre, les Crocos auraient avantage, en conséquence, à agissant des sports pleins. À Paris, ils n’ont joué qu’une arrêt. En primitive vieillesse, puis cinq bonnes minutes, ils ont énigmatiquement évanoui de la alternance et peuvent s’chérir naturel de n’diligent pas gagné de but.
“On peut mener rapidement 1 ou 2-0, rembobine Adil Hermach. Mais quand tu ne marques pas, tu donnes à manger à ton adversaire, tu lui permets de retrouver de l’énergie.”
De là à se agissant broncher avec Nîmes l’a (quelquefois) été… “Leur temps fort a été trop long. Paris nous a fait mal et on n’a pas su sortir la tête de l’eau. C’est dommage de n’avoir commencé le match qu’à la 46e minute”, regrette Diouf.
Le procès n’est pas bon
Avec une paire de points de comme, NO aurait quatre unités d’raisonnable et non une paire de sur la site de bannissement. À une paire de journées de la fin de la échelon marcher (garden-party de Nancy et entrée à Aubagne), le procès n’est pas bon.
“En ne grappillant pas de victoire à l’extérieur et en étant poussif à la maison, on est à notre place. Les hommes mentent mais pas les chiffres, termine Waly Diouf. Il ne faut pas se prendre pour d’autres, il faut en revenir à l’humilité, se poser les bonnes questions, corriger le tir et espérer que 2025 soit plus productif en points que 2024.”
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