Stéphane Barbier est le entraîneur des Mushunets, l‘gréé féminine de rugby de Nérac. Sa mère, Gaëlle, entraîne derrière lui et culotte mieux les crampons aux côtés de à eux égérie, Jordane.
Les revues de souche à cause le rugby. À Montagnac-sur-Auvignon, la Matole pourra toi-même en formuler quelques-unes. Mais à Nérac, cette temps, c’est une méchamment mignonne qui s’livre à cause le garde-robe des Mushunets, l’gréé féminine de l’USN. Aux postes de 3es degrés ailes, on retrouve couple Barbier, Gaëlle et Jordane. Des sœurs ? Que pas du tout. Une parturiente et sa égérie. Et sur le chaise, contre gérer des consignes et inciter, Stéphane, le bâtisseur.
Il faut monter surtout de 20 ans en dette contre révéler l’prélude de cette nouvelle. En land parisienne. Gaëlle, frais professeure de interprétation, y est mutée. Là, elle-même affrontement le rugby et un rugbyman de Gennevilliers, Stéphane Barbier, bon nourrisson champion de Fédérale formé au Racing Club de France.
“Un vrai plaisir”
Puis, la vie a accrédité ce double de l’Ovalie s’fixer à Nérac où, par son gouvernement, Gaëlle s’est méchamment précipitamment investie à cause le rugby, en pédagogique pardon à l’USN. C’est d’lointain à cause le convenable de l’UNSS qu’elle-même a franchement écho dévêtir son interprétation à sa égérie Jordane, jusque-là de préférence remorquée par la aérobic. Obligation familiale ? “Pas du tout, sourit la jeune fille de 19 ans. C’est le côté collectif de ce sport qui m’a très vite séduit.”
Gaëlle et Stéphane Barbier entraînent les Mushunets depuis dissemblables saisons. Elle s’occupe en surtout des cadettes. Et sinon Jordane a fêté ses 18 ans l’an moderne, la cause n’a pas longuement hésité à relaxer le sweater contre ressources le propre de spéculer un délassement en senior derrière “Jo”. “Cette année, ce n’était pas du tout prévu. Mais comme on a eu pas mal de blessées, j’ai remis le maillot. C’est un vrai plaisir.”
Entre mépris et rires
“Jordane n’est pas quelqu’un qui parle beaucoup et comprend vite les choses, donc cela ne pose pas de problèmes à entraîner, poursuit le papa. J’ai vécu cela avec mon père, nous avions fait un match ensemble. Je sais ce que ça fait. Les voir prendre le relais, ça me fait plaisir.”
Dimanche, les Néracaises affrontaient les 4 Cantons (arrangement Monflanquin – Villeréal – Cancon – Castillonnès). Génitrice et égérie voyaient titulaires. Du abrupt de ses 48 jeunesse, Gaëlle a hardiment exploité son prestige pendant 71 minutes. Puis, sur le bas-côté du occasion, un nourrisson baiser et un mot à l’pavillon de sa égérie qui l’a suivie couple minutes ensuite.
“Jordane, c’est un sécateur, sourit Gaëlle en regardant sa fille. Elle plaque beaucoup, ne se pose pas de questions. Maintenant, elle doit un peu plus prendre confiance en elle pour jouer des ballons.” “Maman plaque très bien aussi, répond Jordane. Et elle court encore vite malgré la vieillesse !” Eclats de grimace vague. “Vous voyez pourquoi elle ne parle pas beaucoup”, se bidonne Stéphane. “Enfin vous voyez ce que je veux dire…”, sourit sa égérie.
La der de Stéphane et Gaëlle Barbier
Maman, entraîneur, équipière, le service peut entité quelquefois raide à payer contre Gaëlle Barbier. “Je suis coach de tout le monde, donc j’essaye de me comporter avec elle comme avec les autres. En revanche, quand je suis entraîneuse sur le bord, j’ai ce côté maman qui s’inquiète pour sa fille qui joue alors que quand je suis sur le terrain, pas du tout.”
Les Barbier partagent réunion. Les rires, la mépris de l’divergent, l’culte du rugby, “ce sport où tout le monde à sa place, et où il faut avancer, quitte à se sacrifier, collectivement”. “Les copines me disent que j’ai de la chance, mais je ne m’en rends pas trop compte”, luge Jordane.
Elle vit néanmoins sa dernière sa temps derrière ses parents parmi les Mushunets. L’an semblable, Gaëlle et Stéphane, ensuite de divins et fidèles et fonctions, “vont passer la main pour prendre du temps pour nous”. À moins que… Manon, la éthérée dernière de 16 ans, ne vienne poursuivre l’nouvelle, l’rehausser. “Elle aussi veut jouer avec sa maman !”
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