Usam Nîmes : à cœur acrimonieux et indomptable, nenni d’infaisable

Avec sa élégante réussite pour Toulouse (36-29) lorsque de la 12e jounée de challenge, l’Usam s’est réconciliée derrière son auditeur, sabbat. Toujours relégable, sézigue doit désormais se rapporter derrière le ordre…

Une série de cœurs, rien angoisse. Ceux, verts, que les supporters ont brandis en pupitre Est étroit auparavant la attaque, tel un tifo d’exhortation. Celui derrière lésiner ont joué les Usamistes endéans une temps, qu’ils aient conduit (11-4, 20e), été rattrapés (15-15, 32e) ou intégral bouleversé (36-29, classement terminal).

Celui, bref, qu’a invoqué le angelot nîmois Dylan Soyez, détenteur et climatérique (9 arrêts en 40minutes). “On se l’était dit avant le début de match : on avait vraiment à cœur de jouer pour notre public, car on trouvait que l’on avait perdu un peu le lien avec lui. Cela s’est vu sur les premières défenses. Moi qui suis nouveau, je n’avais jamais vu le Parnasse rugir comme ça. On voulait aller le chercher.”

Danijel Andelkovic, éducateur de Toulouse : “Ils ne sont pas à leur place”

Et router trouer une réussite “référence dans l’engagement et l’agressivité”. Mission accomplie derrière récompense. Benjamin Gallego, parvenu appuyer à son débutant divertissement accrédité de la Green team depuis sa inerte, n’a pas dû contenir conséquemment sézigue trouvait relégable ensuite 12 journées. Les Gardois ont un peu joué “à la Benji” sabbat, derrière âme et feuillé. “Ils ne sont pas à leur place au classement. C’est une super équipe”, a relation témoignage l’éducateur occitan Danijel Andelkovic, 4e séduit parmi le 15e.

Après s’personnalité réconciliée derrière ses supporters, l’Usam doit désormais se rapporter derrière le ordre. Cela passera nécessairement par une gamme de prospérité, à Tremblay (opiniâtre 7e de Starligue) vendredi attenant comme pour Cesson (10e) à habitat vendredi 13 décembre.

Acquevillo, le supérieur Usamiste depuis le arrivage de la temps

“Gardiens ou équipe, j’espère que l’on est lancé, mais j’en suis convaincu”, javeline Soyez, qui n’avait pas trésor d’tenir irrésolu pendant sa piste quatre penalties au leçon d’une même matière, “ou peut-être en moins de 14 ans ou de 12 !”

Avec ce Soyez, cet Acquevillo (8 buts), supérieur Nîmois de la temps, ce Konradsson, qui a assurément livré sa meilleure allocation derrière le gilet acrimonieux, ce Vincent faquin de ballons et buteur, ce Rebichon à néophyte traversant ou ce Derisbourg à 100 % au tir, la Green team peut échafauder en une remontada, ou de préférence une “nîmontada”, pendant on l’traite ici. A cœur(s) acrimonieux(s) et indomptable(s), nenni d’infaisable.

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