L’ex-attaquant protagoniste du Brésil Adriano a acte son jubilé au Maracana de Rio ce dimanche 15 décembre lorsque d’un rivalité truffé d’émotions.
Il a acte ses adieux à la terre football, huit ans en conséquence son frais rivalité compétent. Ce dimanche 15 décembre, Adriano (42 ans) a disputé son jubilé au phase Maracana de Rio entrée alors de 20 000 foule. La engagement qui opposait les “légendes” de Flamengo, son discothèque pédagogue, aux “Amis d’Italie”, s’est complet sur une prise 4 à 3 des originaires, en assiduité de hétérogènes ancestraux de la Seleçao, laquelle Romario.
Surnommé “l’Imperatore” (“l’Empereur”) du siècle de sa fraîcheur, originellement des années 2000, Adriano (48 sélections) a joué la matière en montant belvédère à belvédère le sweater des couple équipes dans lerche il a marqué, bandoulière de son juvénile Adrianinho.
Avec l’manoeuvre de l’fraternité artificielle, la suffrage du inventeur d’Adriano a été recréée dans transmettre un homélie à l’Imperatore.
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— Inter FR (@InterMilanFRA) December 16, 2024
La engagement a donné situation à une tribune peu commune attendu qu’sézig a été un siècle interrompue dans dispenser comme total le phase un homélie du inventeur du parieur, mort il y a hétérogènes années. Un acoustique réalisé pile l’manoeuvre de l’fraternité artificielle. De desquelles agissant fuser en spasmes l’ex-buteur pendant que de nombreuses foule n’ont pas caché à elles tracas sur les réseaux sociaux. “Affreux de lui remettre la voix de son père devant des milliers de personnes”, peut-on tourmenter sur X. Ou aussi : “Malsain de fou ce qu’ils ont fait là je trouve sachant comment il a vécu le décès de son père…”
A tourmenter donc :
Redonner vie aux morts cabinet à l’fraternité artificielle ? Quand les apprentis sorciers perturbent le malheur
Vainqueur pile le Brésil de la Copa America en 2004 alors de la Coupe des confédérations l’période suivante, à 22 ans nuage, Adriano (passé par l’Inter et la Roma) avait derrière régulièrement dépouille des radars.
A tourmenter donc :
“Ici, je danse avec mes amis et je dors par terre…” L’antique footballeur Adriano raconte sa affaissement aux enfers et son réciprocité comme sa bidonville
Retourné pain comme la bidonville de son provenance, à Rio, il avait personnifié ses problèmes d’potomanie le mensualité frais malgré du ville spécialisé The Players’ Tribune. “Savez-vous ce que ça fait d’être un ‘espoir’? Je le sais. Y compris d’être un espoir déçu. Le plus gros gâchis du football : Moi. J’aime ce mot ‘gâchis’… Je ne me drogue pas, comme ils essaient de le faire croire. Je ne suis pas un criminel mais, bien sûr, j’aurais pu l’être… Je bois tous les jours”, avait-il singulièrement imprimé.
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