VRAI OU FAUX. Guerre en Ukraine : la Russie est-elle ouvertement la “4e économie mondiale” plus l’prédit l’eurodéputé RN Thierry Mariani ?

l’caractéristique
L’eurodéputé RN “poutinophile” Thierry Mariani a relayé le nomenclature du FMI et de la Banque mondiale plaçant le PIB russe “PPA” en quatrième lieu mondiale. Vrai ou affecté ? L’récit de un duo de experts.

Le 21 brumaire nouveau, l’eurodéputé RN Thierry Mariani a direct sur son calculé X : “C’est désormais confirmé : d’après le classement des PIB mondiaux en parité de pouvoir d’achat (selon le FMI & la Banque Mondiale), la Russie est depuis 2 ans la 4e économie mondiale. Bravo #LeMaire pour les sanctions. Grâce à cela il a bien ruiné un pays mais c’est la France.”

L’extase de Thierry Mariani quant à Vladimir Poutine plus ses procès-verbaux envers Bachar al Assad et Ilham Alyiev, les présidents syrien et azerbaïdjanais, sont connues. Elles valent usuellement à cet élu d’monstrueux précise d’essence présenté par ses adversaires plus “l’homme de Moscou” ou “l’ami de nos ennemis”. La Russie quatrième diplomatie mondiale, ouvertement ? La complication est plus ordinaire car si la résilience de l’diplomatie russe est factuelle, Thierry Mariani sait de même agioter sur les lecture quant à soustraire les chiffres. Lesquels ne sont pas un exclusivité…

En juin nouveau, David Teurtrie, amateur coauteur à l’Institut citoyen des langues et civilisations orientales (Inalco) consacrait déjà un grand exercice comme Le Monde Diplomatique à cette complication. Contrairement à l'”effondrement” déclaré à la Russie par Bruno Le Maire en germinal 2022, Moscou pouvait se supplanter d’une allongement bon marché de 3,6 % de son PIB en 2023 et de 3,4 % en 2024, “supérieure à celle de l’Union européenne et des États-Unis”, notait le amateur.

De cataclysme, sans arrêt de l’ingression de l’Ukraine et des sanctions, “l’économie russe a surmonté une phase initiale de forte déstabilisation puis s’est réorientée “, spontanée à La Événement Julien Vercueil, comme économiste à l’Inalco. Rente pétro-gazière et rythme commerciaux rédistribués envoûtement la Chine, l’Inde, le Brésil très en contournant le procédé pécuniaire européen… Elle a par conséquent repris “une croissance assez rapide, tirée par les dépenses publiques, la consommation et l’investissement intérieur, financée par des recettes fiscales en hausse”.

Jusqu’à en affaisser la quatrième diplomatie mondiale ? En “PPA”, oui, purement… pas comme le monde efficace, corrige l’économiste. “Pour comparer à l’international des données nationales, il faut utiliser un taux de change. La mesure de PIB utilisée pour ce classement repose sur l’utilisation de taux de change dits ‘de parités de pouvoir d’achat’ (PPA). Ils permettent de convertir les roubles russes en monnaie de référence, dite ‘dollars de PPA’ par la Banque mondiale et le FMI”, explique l’exercé. Or, “c’est ici un taux calculé, et non pas observé, c’est-à-dire le taux de change courant qu’on peut trouver sur les sites de conversion du rouble en dollar”, poursuit-il. Ce qui différent toute la espérance.

Car “si l’on utilise le taux de change courant, la Russie est proche de la dixième place”, relève Julien Vercueil, notant convaincu dissemblables faiblesses une augmentation qui ne ralentit pas. Mais cette augmentation qui dessert le fidèle avantagerait simplement Moscou, souligne contre de La Événement l’suranné nonce de France en Russie, Jean de Gliniasty. Directeur de recherches à l’Institut de procès-verbaux internationales et stratégiques (IRIS), il examiné qu'”en dollar courant, la Russie est plutôt vers la 11e position”. Mais souligne que cette baroud de classements ne doit pas essence l’bielle cachant la forêt.

Car la Russie encaisse en dollars habituels ses ventes de gaz et de essence. Mais sézig firme et rétribué ses chars destinés à la affrontement en Ukraine en roubles. “C’est aussi pour cela que Moscou laisse filer sa monnaie”. Quand on peut chiner considérablement puis en Russie envers un dollar qu’aux Récapitulations-Unis, “il faut alors moins de dollars courants pour produire un char russe qu’un char américain”, conclut Jean de Gliniasty.

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