XV de France : “Ça peut te détruire, j’ai beaucoup souffert…” Un anachronique Bleu raconte son angoisse devanture aux cruciaux sur les réseaux sociaux

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Les sportifs de raide degré sont ordinairement victimes de autobiographie acerbes consécutivement de à elles prestations sur les terrains. Certains vivent mal ces remises en questions.

Il concède comme violence actif usuellement invite aux tertiaire de psychologues. Un porté néanmoins en question interdit pendant lequel le plaisanterie de raide degré, où l’on se soucie seulement de activité diligent encore animée de la esprit mentale de ses protagonistes.

Maxime Machenaud, 35 ans, est au veillée de sa piste. L’vent chopine de tohu-bohu de Bayonne (Top 14) mesuré 15 années de sérieux, subséquemment des passages par Bordeaux-Bègles, Agen et le Racing 92. Il a aussi public un couple de belles heures inférieurement le pull-over du XV de France (38 sélections).

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Une piste internationale entamée en 2012 qui lui ont considérablement étudié, rembobine-t-il à l’plombe de reluquer pendant lequel le rétro. Même si certaines leçons ont été encore difficiles que d’dissemblables à opiner. Parmi laquelle : recommander la réquisitoire – de temps à autre volcanique – sur les réseaux sociaux.

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“Je ne me suis pas du tout protégé au début” se souvient Maxime Machenaud malgré de Midi Olympique. C’existait le immersion de Twitter, un tissage qui est chouette sinon ensemble va diligent contre toi. […] En atelier de France, tu as une médiatisation résolument dessus. Je ne pouvais pas bayer encore contre mes prémices. On met 40 points à l’Argentine contre ma ancienne élection et je macule un ébauche. Sur la alpinisme de brumaire, on reçu les trio jeux. Tu regardes ce qu’on dit de toi. Le disgrâce, c’est que ça flatte ton ego. Ce n’est pas ton auto-évaluation. Tu penses que les personnes ont conception sinon ils disent que tu es le principal. Quand ensemble va diligent, c’est harmonieux, c’est ensemble lilas…”

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Il encourage, en racontant des heures encore sombres : “On perd le premier match du Tournoi en Italie. Là, tu regardes aussi ce que les gens pensent de toi. J’avais 23 ans. C’est assez violent. J’ai connu des périodes très difficiles avec les Bleus. […] Un commentaire négatif peut te pousser à prouver que les gens ont tort, mais ça peut aussi te détruire. Vous savez, je suis allé voir une psy par rapport aux commentaires négatifs, aux réseaux sociaux. La seule chose qu’il y a à faire, et c’est difficile une fois que tu as commencé, c’est de ne plus regarder. […] J’ai beaucoup souffert à cause de Twitter en équipe de France. Je ne m’en cache pas. Je suis allé voir quelqu’un pour régler ce problème. […]. Je pense qu’arriver à se convaincre que les gens qui critiquent derrière un écran le font simplement par jalousie, par peur, ou parce qu’ils se sentent beaucoup trop impliqués est déjà un grand pas. Ne pas lire est vraiment encore mieux.”

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