
Pour la étrenne jour, le assemblée d’pilotage d’Habitat du Gard a voté un dépense 2025 en disharmonie et signe une épanchement de recettes de 4,9 M€.
Le nomination du dépense déficitaire d’Habitat du Gard épouvante les élus communistes du Conseil départemental qui, parmi un avertissement, dénoncent “un coup dur porté au secteur du logement social dans notre département alors que des milliers de foyers gardois dépendent du premier bailleur de l’habitat social” qui gère 15000 logements sociaux sur 76 communes du Gard.
Ils s’inquiètent d’également avec que cette particularité tendue ne concerne pas simplement Habitat du Gard, “elle reflète les difficultés structurelles rencontrées par l’ensemble des bailleurs sociaux, à l’échelle locale comme nationale”.
Comment amplifier le clôturé immobilier ?
Avec un tel dépense, quoi ce mécène pourra-t-il attacher et amplifier son clôturé immobilier, remplacer les logements existants et à contester aux 23 000 demandes en surveillance”, lancent Christian Bastid, Vincent Bouget et Denis Lanoy. La situation est particulièrement préoccupante à Nîmes, où la pression est déjà très forte “et les candidats à un résidence sociable voient à eux chances de se vivre s’rapetisser”.
Dans le conteneur de l’Anru, financé par l’Conclusion et Nîmes Archiépiscopat, “le Département du Gard, lui,
finance pour plus de 19,5 M€ la rénovation urbaine auprès des bailleurs sociaux. Nous contribuons aussi chaque année avec plus de 3 M€ les garanties d’emprunts à tous les bailleurs sociaux”.
Après le acte, les élus appellent à une convocation et à des propositions concrètes : “Nous lançons un appel au gouvernement pour qu’il révise ses politiques en matière de logement social et renforce les moyens alloués aux bailleurs et que l’État revalorise les APL”. Au degré dialectal, le PC suggère de appareiller prochainement l’choeur des acteurs concernés quelque de construire une diplomatie ordinaire quant à surmonter cette colère.
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