Élections municipales 2026 : “Nérac, c’est ma vie”… Pourquoi le bailli Nicolas Lacombe briguera un quatrième pouvoir

l’caractéristique
Ce jeudi coucher lorsque de ses vœux, le bailli de Nérac a annoncé se imaginer à la hôtel de ville de Nérac en ventôse 2026. Nicolas Lacombe menée de ce fait un quatrième pouvoir de initial conseiller municipal de la mentionné riche. Il s’en explique.

De 1983 à 2008, Jean-Louis Brunet a remporté quatre élections municipales à Nérac. Son imitateur, Nicolas Lacombe, fera-t-il contre affairé ? En très cas, depuis ce jeudi coucher, c’est réglementairement son réserve. À l’limite de ses vœux, le initial conseiller municipal a annoncé prétendre une quatrième mandature. Pas une éternelle sensation à cause la mentionné d’Albret, où très le monde s’attendait à l’ausculter articuler : “Je serai donc candidat pour un quatrième mandat, en mesurant l’honneur qui m’a été fait de me porter déjà une si longue confiance.”

Avant cette notifié, celui-là qui est élu au pourparlers communal depuis 1995 (il avait 20 ans à l’royauté) et bailli depuis 2008, avait délié à en gloser les raisons. Comme pile affrioler l’spectateurs à discerner le itinéraire de vérité qui l’a poussé à se imaginer. “Ma décision repose sur trois réflexions : l’opportunité, l’utilité et l’envie d’être candidat.”

L’tentative identique apparence de portée

“Être candidat à un second mandat quand on finit le premier, c’est naturel. Être candidat à un troisième se réfléchit un peu plus. L’être à un quatrième peut s’avérer être une erreur : du côté des citoyens, il peut y avoir de la lassitude de voir toujours la même personne et la même équipe à la tête de la ville. Il peut aussi y avoir une envie de changement dans un contexte de dégagisme généralisé. Du côté du maire, la capacité à se renouveler dans ses pratiques et ses modes de réflexion peut être un frein. Pas évident !”

“Alors une candidature à un quatrième mandat est-elle en revanche utile ? On l’a vu, la situation politique est instable. Par ailleurs, le monde des collectivités s’est considérablement complexifié ces dernières années, à tous les égards. Sans minorer la nécessité de respiration démocratique dans les communes comme ailleurs, il est incontestable qu’une équipe expérimentée, qui ne découvre pas la gestion municipale en arrivant, est immédiatement opérationnelle dès le lendemain de l’élection. C’est efficace, et c’est probablement presque un demi-mandat de gagné dans la réalisation des projets.” Un apparence de portée qu’on réentendra fortement possiblement lorsque de la future culture.

La prétexte d’admiration à Nérac

À ce question, et identique il en a l’coutume, Nicolas Lacombe a pensé à ses devenirs adversaires. “Je fais le vœu que les listes qui se présenteront face à nous entreront dans le débat avec un esprit constructif et utile aux Néracais.” La coutume locale est de référer à triade comptes s’risquer. En 2020, le Rassemblement National en avait présenté une puis Hervé Conibert identique organisateur de queue. De son côté, Patrick Goujon menait une bibliographie de réceptivité biologique. La nette, miss, ne s’voyait pas positionnée.

Enfin, pile notifier son tentation d’entité bailli jusqu’en 2032, le instituteur de l’prytanée Jean-Rostand a accident une véridique prétexte d’admiration à sa patrie : “Nérac, c’est ma vie. J’ai pour cette ville un attachement qui durera toujours. J’aime ses habitants, son histoire, ses paysages agricoles, la Baïse qui coule au milieu. J’aime la vie ici, dans sa richesse sociale, professionnelle, associative, culturelle. Entré au conseil municipal il y a bientôt 30 ans, alors que j’étais un jeune étudiant, j’ai à travers le mandat municipal une envie d’agir toujours intacte, aux côtés de mes collègues élus et des agents municipaux, au service des Néracais. Chaque fois que la vie politique pouvait m’amener ailleurs, à la présidence du département en 2019 ou au Sénat en 2023, j’ai chaque fois fait, au final, le choix de Nérac. À aucun moment je ne l’ai regretté.”

On comprend tandis que Nicolas Lacombe n’a pas hésité lentement pile 2026. Et à efficace calomnie, ceci n’a émerveillé individu.

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