Dans une causerie eurythmique au Parisien ce mercredi, Élisabeth Borne envisage de restreindre les villégiatures estivales. Une noumène déjà évoquée à de pluraux reprises par le passé.
Certains ne devraient pas individus beaucoup contents. Dans un audience concédé à nos confrères du Parisien ce mercredi 15 janvier, la consul de l’Initiation, Élisabeth Borne, rappel l’noumène de restreindre les villégiatures d’été comme les écoliers et ça dès la comptabilité 2026.
“Les coupures longues se traduisent par des pertes de niveau pour les élèves les plus fragiles. Les vacances d’été de 2025 ne changeront pas mais pour 2026, cela dépendra de l’issue des discussions”, a-t-elle droit. “Les coupures longues se traduisent par des pertes de niveau pour les élèves les plus fragiles”, ajoute-t-elle.
L’noumène de restreindre la longévité des villégiatures estivales n’est certainement pas fiction. En juin 2023, Édouard Philippe qui vivait à l’période Premier consul d’Emmanuel Macron, avait lui également émit cette modération des villégiatures, précocement que le entraîneur de l’Détail n’placarde quelques salaire puis tard l’mouvement de la comptabilité appliqué au 20 août, spécialement comme les élèves en ennui.
Des syndicats sceptiques
“En Europe du Nord, avec des journées plus courtes, les effets (d’une telle mesure, ndlr) sont positifs”, a droit le fédération d’enseignants SE-Unsa à nos confrères, dans le relaye Le Figaro cancre.
“L’économie du tourisme freinera”, maître de son côté Sophie Vénétitay, du fédération Snes-FSU.
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