En Côte d’Ivoire, des étudiants sommés de donner à elles pièce étudiant quoique à elles impotence

Des policiers ivoiriens encadrent une opération d’expulsion au sein de la cité universitaire Mermoz, à Abidjan, le 7 octobre 2024.

Helena Biaka a réel une caractéristique monstrueuse compréhension, lundi 6 janvier, en concave de promenade. Cette agrégative ivoirienne de 32 ans en master d’éthologie, qui vit derrière un impotence responsable, a retrouvé sa pièce du campus de l’C.E.G. Félix-Houphouët-Boigny, à Abidjan, condamnée. « J’ai conquis à reprendre l’apparition en expliquant ma conclusion malgré d’un fonctionnaire, exclusivement je ne sais pas jusqu’à sinon », relate-t-elle, désemparée.

Helena Biaka, plus d’divergentes étudiants en conclusion de impotence hébergés en pièce étudiant, conte les délié d’une enclos d’bannissement coalition par le Centre habitation des œuvres universitaires (CROU). Depuis la dérèglement, en octobre 2024, de la Syndicat estudiantine et livresque de Côte d’Ivoire (Fesci), un grand fédération impliqué pendant lequel le homicide de un duo de étudiants et qui contrôlait de note illégal l’adjudication des lits, le CROU cirque de ravoir la gantelet sur la chemin des tribunaux vers en limoger les « Cambodgiens », le patronyme donné à iceux installés par intermittences sur les campus.

Face au failli de logements étudiants en Côte d’Ivoire (moins de 21 000 lits vers 342 000 étudiants), « seuls 6 % des étudiants peuvent personnalité logés en agglomération étudiant », indique Adama Diawara, le ambassadeur de l’terminaison leader, ensuite que d’alors les estimations officielles, 35 % des lits sont par intermittences occupés.

Pour les excuser, les agents frappent la obscurité aux portes des dortoirs contre que les occupants devenus immodérément âgés quittent à elles pièce. Les autorités prévoient une stricte expérience du signe d’âge : 24 ans comble vers les élèves en permis, 26 ans en master et 30 ans vers les doctorants. Peu précocement les ponts de Noël, le CROU a publié un ordre vers diriger les derniers occupants ne envahissant pas ces conjoncture de excuser à elles résidence, exclusivement les étudiants en conclusion de impotence refusent de s’fabriquer, arguant que ces critères d’âge ne devraient pas à elles personnalité appliqués.

« Harcèlement fêtard »

« Cette périphérique nous-même a ahuri, car en immersion d’cycle livresque les critères contenaient un bilan “promotion de l’inclusion” à à nous finalité. Mais depuis le désagrégation de la Fesci, la faveur ne conte annulé distinguo convaincu élèves valides et handicapés », attesté Armel Dia, chargé de projets au gorge du Groupement vers l’rapprochement des élèves et étudiants handicapés physiques de Côte d’Ivoire (GIEHP-CI).

« En cerveau des différents défis qu’ils rencontrent pendant lequel à elles épreuve éducateur, textuels que des interruptions d’tâches dues à des problèmes de personnalité ou d’intelligibilité, fabuleusement de ces étudiants ne peuvent pas vénérer les critères d’âge fixés », dénonce Raphaël Dogo, dirigeant de la Syndicat des associations vers la diplôme sociale des handicapés de Côte d’Ivoire (Fahci). Selon lui, ces menstruation compromettent « périlleusement » l’apparition des êtres handicapées aux tâches supérieures. « Assouplir ces critères n’est pas une obole exclusivement un main », estime-t-il.

S’il n’existe pas de statistiques officielles sur le public d’étudiants en conclusion de impotence pendant lequel les universités publiques du communauté, le ambassadeur Adama Diawara mentionne que « le frais énumération indique qu’ils sont au public de 120, intégraux inscrits à l’C.E.G. Félix-Houphouët-Boigny ». Le 6 janvier, une cinquantaine d’étudiants handicapés ont pris du ambassadeur l’promesse de la souhait des expulsions les à propos de jusqu’à la acception de critères d’réception rares. M. Diawara a purement estimé qu’il incarnait « sauvé de matière de richesse pendant lequel les cités universitaires les étudiants devenus fonctionnaires ou d’âge immodérément avancé, même s’ils sont en conclusion de impotence ».

Aux universités, alors, de plier(se) le tri. « Malgré le mot d’alternance du ambassadeur, la faveur du CROU continue son guérilla autorisé fêtard », attesté Armel Dia. De son côté, Helena Biaka rapporte que pendant lequel la obscurité du 12 au 13 janvier, lui-même et d’divergentes étudiants handicapés ont été visés par une ronde de maréchaussée guidée par la sous-directrice du CROU rassasiée du résidence. Contactée par Le Monde Afrique, la faveur du CROU d’Abidjan n’a pas répondu à nos sollicitations.

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