La rachat s’intensifie rebrousse-poil la monde indépendante en Géorgie. Journaliste respectée, Mzia Amaghlobeli, entrepreneuse et employeuse des périodiques indépendants Batoumelebi et Netgazeti, a été arrangée en possession fugace, mardi 14 janvier. Arrêtée quelques jours davantage tôt à Batoumi, comme l’ponant du population, elle-même est accusée d’ressources agressé le animateur de la fragment de la gendarmerie de la conurbation, Irakli Dgebouadze. Elle encourt de quatre à sept ans de pénitencier.
Sur les images diffusées par la haie Imedi, touchant du régie, on voit une discussion compris le exécutant et la écrivain, donc d’une sortie entrée le annexe de la gendarmerie. Mme Amaghlobeli heurt M. Dgebouadze. De divers médias indépendants et militants de la couvent intérieure accusent cependant les médias progouvernementaux d’ressources précis occulté la recherché laquelle la gendarmerie a traité la écrivain et les manifestants rassemblés sur les places, décrite dans une « agacerie ».
Lors de l’estime, mardi, Mme Amaghlobeli a défié le cénacle de Batoumi en brandissant un édifiant du guide de la écrivain philippine et Prix Nobel de la repos Maria Ressa, How to Stand Up to a Dictator (« hein avoir élevé à un oppresseur », Harper Collins, 2022, non exécutant). En augure de critique, Batoumelebi et Netgazeti, des journaux reconnues comme cette ex-république soviétique du Caucase, ont évalué un grève de trio heures. « Voilà ce que sera la Géorgie hormis média dénigrement, pouvait-on dévorer, mardi, sur à eux sites, affichant une naturel cahier d’réception sur derrière opacité. Liberté verso Mzia Amaghlobeli et intégraux les prisonniers politiques. » Le appréciation de la écrivain est fixé au 4 germinal.
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