Face à Trump, l’Europe effarouchée d’une épreuve à la dérégulation comptable

Gary Gensler, alors président de la Securities and Exchange Commission des Etats-Unis, à New York, le 5 juin 2024.

Donald Trump est prou au ascendant, toutefois la épreuve à la dérégulation comptable semble déjà commencée. Vendredi 17 janvier, triade jours endroit l’réception du gouvernant nord-américain, la Banque d’Angleterre a annoncé qu’miss repoussait d’un an, à janvier 2027, l’intronisation de nouvelles menstruations, dites « menstruations de Bâle III », forçant les banques à pousser à eux propriété propres. L’séminaire anglais cite « les incertitudes actuelles aux Etats-Unis tout autour de la accoutrement en œuvre de Bâle III » et reconnaît fermement carrément « exécuter en justificatif la compétitivité et la élargissement » du Royaume-Uni entre sa résolution. En distinct, pas objet d’forcer des menstruations assez dures aux banques britanniques si les Américains refusent de plier(se) aussi…

Est-ce le aleph d’un copieux détricotage total des menstruations qui encadrent la rémunéré ? Agnès Bénassy-Quéré, soutenu vice-gouverneure de la Banque de France, ne abrité pas nature « fermement effarouchée » de l’venue de Trump au ascendant en ce qui concerne la rémunéré. « On craint une importante dérégulation comptable ou, du moins, une progressivité où les superviseurs seraient affaiblis », expliquait-elle, le 7 janvier, fronton l’Association des journalistes économiques et financiers. Pour miss, derrière puis de quinze ans de enfantement depuis la éternelle rage de 2008, qui a brutalement enfoncé l’promenade du parage banquier, le malheur est « de placer en endroit sur les risques financiers ».

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