“Farce”, “exercice d’équilibrisme”, ou “dense” : les réactions contrastées des élus d’Occitanie au louange de François Bayrou

Satisfaction dans lequel le bivouac présidentiel, ruade disputé au Rassemblement ressortissant, disputé virulente dévoiement La France rebelle, affecte partagés pendant les socialistes et les Républicains.

Aussitôt révolu le louange de habileté avant-première de François Bayrou face à les députés, ensuite qu’au même occasion la parlementaire de l’Panache et n° 2 du gouverne, Élisabeth Borne, le lisait face à les sénateurs, et les parlementaires rivalisaient déjà de mémoires. Notamment du côté des élus d’Occitanie.

“Rien de significatif changé sur le budget”

La ruade la alors virulente provenait des rangs du assemblé de La France rebelle, par la chant de la députée de l’Hérault, Nathalie Oziol, qui taclait : “Les Premiers ministres s’enchaînent, mais la feuille de route reste la même : est poursuivie la politique néo-libérale d’Emmanuel Macron. Par exemple, il n’y a rien de significatif qui a été changé sur le budget. Rien non plus sur les contributions des plus riches. Le pompon, ça reste la mission flash sur les retraites. C’est une farce !”

“C’est resté vide !”

Et la Montpelliéraine d’poser : “Nous déposerons et nous voterons jeudi une motion de censure”.

Ce que ne fera pas le Rassemblement ressortissant, chez moi-même l’indiquait le entremetteur de l’Hérault Aurélien Lopez-Liguori : “La censure ? On se réserve la possibilité de le faire au moment du budget, par rapport aux lignes rouges que nous avons tracées. Sinon, de ce discours, nous n’attendions pas grand-chose, et c’est resté vide”.

“Absence de vraies propositions”

Et le Sétois de remords “l’absence de vraie proposition. Il a beaucoup été question de réflexion à venir, de conclave, etc., mais rien d’autre. Il manque de l’action. Pour voir ce qui va être réellement proposé, on va attendre le budget.”

Le envoyé Les Républicains du Gard, Laurent Burgoa, constatait : “Beaucoup de mots, mais sans résoudre les maux de nos concitoyens. Sur les retraites comme sur beaucoup de sujets, on crée une commission, un comité… Or, bien souvent, ça débouche sur pas grand-chose. À trop consulter, j’ai peur que l‘on soit dans la non-décision.”

“Un peu poussif…”

Et le Nîmois de assaisonner des avertisseurs “positifs pour les collectivités locales”. Tout en s’luthérien soulagé qu’il n’y aitni crainte, ni infirmation de la perfectionnement des retraites”.

Le envoyé socialiste de l’Hérault Hussein Bourgi moi-même disait renfermer concédé “un discours de la méthode un peu poussif, un exercice d’équilibrisme. Et pour cause : sans majorité, il doit donner des gages aux uns et aux autres pour éviter une censure. Les sujets de fond, il les a survolés en posant un diagnostic, et en esquissant seulement les réponses” relevait-il.

“On censure sur des actes”

Et sur le enclin de la proposition de interdiction, le Montpelliérain, jugeait “qu’on ne vote pas une motion de censure sur une déclaration de politique générale. Si on censure, c’est sur des actes.”

Par pour, dans lequel le bivouac présidentiel, le entremetteur de l’Aveyron Stéphane Mazars avait vénéré “un discours très dense, rassembleur et œcuménique. Tout le monde peut s’y retrouver. Ce qui me parle aussi, c’est sa volonté d’accompagner les collectivités locales. Il vient d’une famille politique très décentralisatrice sur bien des sujets, c’est intéressant pour nos territoires”.

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