Didier Bès et Jérémy Valls. L’passé talonneur et placier, un couple de emblématiques du MHR, apportent une clignement différente comme le plâtre de Montpellier.
Construire l’particularisme d’un canne franchissement de ce fait par là. Par la tige, l’commencement, le engagement des séculaires. Avec Didier Bès (58 ans) et Jérémy Valls (50 ans), le guide et le buteur de la arrivée de Montpellier en Top 16 en 2003, le plâtre du MHR possède un couple de emblématiques de l’roman du canne.
Ils ne sont pas là que vers à elles race héraultais. Bès est aujourd’hui une bibliographie nationale chez les coaches de la désordre. Après créature parvenu en conseil d’période donc du patron emploi, il a bénéficié d’une certaine pré-saison cet été vers fixer en fonction son establishment. Aboutissement, la désordre montpelliéraine est la meilleure du Top 14.
Au-delà de l’attitude produire, l’passé talonneur, moindre ludique le surtout capé de Montpellier (331 matches) poupe Fulgence Ouedraogo (340), apporte une sérieux de calme comme ce plâtre pénitence. Derrière son oeil âcre et sa coquillage campagnard, Didier Bès perception, entend et cédé son introduction comme les moments opportuns.
“C’est quelqu’un qui ne parle pas beaucoup. Il paraît même un peu froid quand on ne le connaît pas. Puis quand il parle, ce n’est pas pour rien dire. Quand on était joueur, il fallait souvent quelques bières au fond du club-house pour débloquer quelques sujets de conversation”, sourit Jean-Philippe Lacoste, ami et ex-coéquipier de Bès compris 1996 et 2003 à Montpellier.
Les un couple de êtres ont de ce fait aguerri assemblage compris 2009 et 2010, derrière le amorçage de Didier Nourrault et Alain Hyardet. Ils formaient un harmonie pour l’passé autre suite sud-africain, Warren Britz.
Deux séculaires qui ont dû faire fléchir à elles classes absent
Mais le Tarnais n’a pu s’continuer comme l’Hérault. Ses emblème, il a dû les faire fléchir absent derrière une paire de différends à Montpellier. Puis la encouragé s’est débordante à dépense. Il est budget, rien amertume. Aujourd’hui, il vit un dépense objet au MHR. Surtout, l’interpénétration est là pour le codicille du plâtre.
Jérémy Valls a de ce fait dû faire fléchir ses classes absent. L’passé placier, passé par Narbonne, a engagé à Perpignan en diagonale de Patrick Arlettaz, en tellement que directeur du jeu au vers (2017-2018). À l’été 2023, il est contacté par Jean-Baptiste Elissalde vers joindre le plâtre et supporter ce même calendrier.
“Lui aussi, comme Didier, a un côté un peu taiseux au premier abord, note “Jean-Phi”, lui aussi ancien demi d’ouverture et adversaire puis coéquipier de Valls. C’est quelqu’un qui réfléchit énormément sur le jeu. Sans problème, il pourrait coacher des arrières. Joueur, il était très bon techniquement. Là, il apporte sa réflexion du jeu au pied, à quel moment tel ou tel joueur doit utiliser cette arme ou non. C’est le rôle du coach du jeu au pied.”
Un peu moins la élevé comme les papiers stratégiques, Jérémy Valls apporte un dissemblable démarche de similitude aux joueurs. “Il peut avoir des discussions plus éloignées du terrain que les autres coaches. Si des joueurs ont dû mal avec un entraîneur, ils peuvent passer par Jérémy. Il est là essentiellement pour le développement individuel du joueur, mais aussi humain”, ajoute Lacoste.
Comme comme bigrement de choses, généralité est embarras d’harmonie. Didier Bès et Jérémy Valls y participent comme le plâtre du MHR.
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