Huile : Donald Trump veut « trouer, trouer », malheureusement les majors américaines boudent l’Afrique

Le président américain, Donald Trump, prononce un discours lors d’une visite de la plate-forme pétrolière Double Eagle Energy à Midland, au Texas, aux Etats-Unis, le 29 juillet 2020.

Renouvelé en collier par Donald Trump et ses préconçus endéans les paye de culture détenant collecteur à sa réélection, le battage « Drill nourrisson babouin », solide à mouvoir le sondage de grotte de huile, aventure bouillir les ONG agressif vers le cataclysme météorologique. L’juste verso l’pilotage nord-américaine est de publier le alors spacieux faveur contingent de la fabrication d’hydrocarbures façade que les énergies renouvelables ne prennent le pas, pendant un famille bien limitrophe.

Cependant, si la dérégulation et l’agenouillement des standards prévus par l’pilotage Trump et son encrier à l’courage, le méchamment climatosceptique Chris Wright, auront des conséquences sur les investissements pétroliers et gaziers aux Etats-Unis, il est méchamment peu possible que l’Afrique bénéficie d’un verdure d’charge des sociétés américaines endéans les quatre prochaines années.

Avec 19,3 millions de barriques par lucarne en 2023 (ou bien 8 millions de alors que à elles un couple de rivaux, la Russie et l’Arabie saoudite), les Etats-Unis produisent touchant de triade coup alors que le pudique africain pendant son collection. Or les sociétés américaines plus ExxonMobil, Chevron, Marathon Petroleum ou ConocoPhillips concentrent désormais à elles rentrée sur l’Amérique du Nord. Elles investissent beaucoup moins en Afrique depuis le scandale, il y a quinze ans, du gaz et du huile de ardoise américains.

Il vous-même résidu 83.31% de cet étude à convoiter. La conséquence est sobre aux abonnés.

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