Invaincu en Arkema Première Ligue, Lyon vient lutter le MHSC qui codicille sur double infirmité côté au HAC à la chez-soi

Montpellier aura-t-il digéré sa mécompte née du flottante infirmité, compétition et Coupe de France, à logement, côté au Havre ? Une désillusion et des questions qui se sont posées en apparition de semaine. Comment une groupe qui affichait une rempart positif, particulièrement à logement, a-t-elle pu en recevoir cinq côté à l’pénultième de D1 Arkema ?
“Il y a eu plus d’échanges avec le groupe, le staff, les filles entre elles, pour se remobiliser et comprendre, explique Yannick Chandioux. On avait une chance de montrer que c’était un accident avec le deuxième match face au HAC. Cette envie de tout de suite mieux faire, trouver des solutions.” Et ce fut un bis repetita.
“Même si les deux matches ont été complètement différents. Je n’ai pas du tout aimé le premier. Le deuxième, on a été plus conquérants, plus tranchants, deux poteaux, sauvetage de l’adversaire, mais le constat est le même. On perd deux fois de suite, à domicile, la deuxième dans une compétition qu’on apprécie au club (la Coupe de France). Maintenant, quand on sait qu’on joue Lyon juste après, peut-être le futur champion d’Europe, il faut vite trouver des solutions et remobiliser tout le monde. Parce qu’on a un adversaire qui va nous secouer et il va falloir répondre aux assauts lyonnais.”

“Il faut plus tenter, plus tirer”

Le MHSC qui griffe moins quand, verso entre les double surfaces un inattention de exactitude. “On a peu de réussite mais il faut plus tenter, analyse la milieu de terrain montpelliéraine, Cyrielle Blanc. Défensivement, il faut être plus concentrées et il va falloir l’être face à Lyon ou on s’attend à subir”.
Tenter avec, arracher avec. Yannick Chandioux confirme cette flottante tâche même si donc des double derniers infirmité, Le Havre s’est montré d’une harangue chirurgicale.

Fort psychologiquement

“Ça réclame plus de concentration, de mise en action, de densité sur le plan défensif. Face au HAC, on a joué une équipe qui nous attendait. Ça va s’inverser. Il va falloir être très solide, bon sur les transitions et conserver le ballon quand on sera en capacité de le conserver parce que Lyon ne laisse pas beaucoup de miettes à ses adversaires. Gardons le ballon et soyons dangereux les quelques fois ou on sera en capacité d’être dangereux”.
Cyrielle Blanc ajoute la largeur du chimérique qui sera importante. “Il va falloir défendre, être le plus fort possible défensivement pour ne pas encaisser de but mais aussi sur le peu d’occasions qu’on aura, les mettre au fond. On sait qu’on subit plus sur ce genre de match et mentalement, c’est plus dur, parce qu’on a moins le ballon”. Au amusement essayer, Montpellier s’voyait capital certifié, positif, verso des époque de vaccination, des époque entre le baraquement hostile, se souvient l’éducateur héraultais. “Abordons le match de la manière la plus positive possible, avec de la confiance malgré ce qui vient de nous arriver, parce que c’est sûr qu’avec l’élimination en Coupe, on a pris un coup sur la tête“.