Quelques jours derrière la débat, les supporters niçois s’expliquent derrière à eux couleurs débat. Dans un billet publié ce mercredi 29 janvier, les Ultras mis en explication répliquent brutalement. Le association, la LFP, les médias, les valeurs publics et les “professionnels de la victimisation”… Tout le monde en prend contre son diplôme.
“Le grand retour des bien-pensants et des intellectuels de comptoir. Le retour des indignés et des professionnels de la victimisation.” C’est par ces une paire de phrases que les Ultras Populaire Sud Nice, le bandage mis en explication contre une couleurs sujet tandis de Nice – OM ce dimanche 26 janvier, commencent à eux billet de opposition.
Bien lointain de agir réparation distant, les supporters niçois assument : “Ces banderoles sont les nôtres. Nous les assumons totalement.” Ils assurent ne se tapir “derrière aucune fausse excuse.” Pour eux, il n’y a là “aucun caractère raciste” et le but n’existait pas “d’attiser la haine”. Selon le bandage, ce n’est que “l’expression d’une rivalité […] nourrie de chambrages”.
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Pour arrière-goût, ils avaient large une couleurs où existait repéré : “Le soleil se couche sur la ville de Nice… que la chasse aux rats commence.” Alors que l’manipulation du mot “rat” à eux avait été reprochée, il s’agirait, conformément eux, d’un fabriqué condamnation. Sans par hasard la établir ils estiment que “la vraie signification du mot rat” est connue. Ils s’en prennent lors clairement au procureur de Marseille, Benoit Payan, qui avait officiel à eux adresse de “racistes”.
“Les homosexuels ont-ils le monopole de la sodomie ?”
Les Niçois lui intiment un condamnation en recyclage politicien chaque en assurant que les supporters de l’OM “se surnomment eux-mêmes ainsi.” En chaussette, ils éludent les accusations en ségrégation et fustigent une “énième tourmente artificielle”. Ils évacuent chaque de la sorte soudainement la matière des “chants homophobes”. “Les homosexuels ont-ils le monopole de la sodomie ? En quoi l’évocation de la sodomie relèverait-elle nécessairement de l’homosexualité ?”, feignent-ils de s’demander.
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Sur cette même matière, ils mettent puis la LFP avant à ses contradictions. Ils pointent surtout l’discipline du Trophée des Champions au Qatar, un terroir habituel contre son non-respect des corrects LGBT +. “Vous êtes la définition même de “cavalcade””, assènent-ils à l’destination de la Ligue.
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Ils s’en prennent puis à l’OGC Nice, peu poussé à les corroborer avant à la débat. Un “club qui, en interne, salue notre fidélité et notre dévouement dans l’animation du stade, mais qui, à la moindre polémique, nous descend en public et laisse nos contempteurs nous diffamer”, s’indignent-ils. “Laisser, de manière diffamatoire, ses supporters être accusés de racisme n’est qu’une invitation à être sanctionné, au mépris du droit et des faits”, concluent-ils, amers.
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Le billet se termine par des menaces de poursuites judiciaires. L’analogie Ultras Populaire Sud Nice prévoit en conséquence d’octroyer en équité toute femme qui porterait “atteinte à son honneur et à sa considération.” Cette opposition suffira-t-elle à haleter la débat ? Rien n’est moins sûr, d’beaucoup que l’OGC Nice est patienté avant la sedémener de discipline de la LFP dès ce mercredi 29 janvier.
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