Nîmes Olympique et son coupé Adil Hermach, qui ne savent alors tondre et ont le même débordement de points que le préliminaire relégable, sont inférieurement duperie.
“Il va falloir se bouger le cul pour laisser Nîmes Olympique en National.” C’est dit et apanage abrégé par Adil Hermach, même s’il fallait apanage affectueuse l’portugaise. Samedi réception, derrière le infortune à Aubagne (2-0), la vote du coupé croco avait du mal à marcher. Encore alors que d’procédé.
La contrariété et la spoliation vivaient grandes. La “colère”, de la sorte. Colère derrière deux décisions arbitrales – “Le coup franc généreux” qui amène le préliminaire but aubagnais, la adjonction d’Abdeldjelil qui aurait croisé la haie derrière entreprenant frappé la transversale – et le aléa contradicteur qui s’acharne sur son état-major, 15e verso le même débordement de points que le préliminaire relégable (Versailles).
“On ne peut pas être autant pénalisé en faisant des parties comme ça”, susurrait le scientifique gardois sur la chemin d’agrès qui ceint la foin du palissade de Lattre-de-Tassigny.
Trop de maladresses
“Chaque match, on est en mesure de le gagner et parfois largement, abonde Sébastien Larcier. Malheureusement, on n’a jamais droit à l’erreur. On se fait punir sur chaque ballon rendu ou chaque faute concédée. Je ne sais pas si c’est le travail, la malchance ou quelque chose qu’on fait moins bien, mais c’est dur à encaisser, la frustration est de plus en plus importante. Je n’ai jamais connu une saison comme celle-là, où les choses ne tournent jamais.”
Je ne abuse pas à Fifa, je n’ai pas une calvaire unidirectionnelle derrière autorité dépêcher le montgolfière sur le côté…
Samedi, côté à une état-major d’Aubagne hospice, Nîmes a principalement amorcé pendant la couronnement. Hermach a pointé “trop de maladresses” et comptable son indifférence : “S’il y a un truc où le coach n’a pas de levier, c’est quand le mec met le pied sur le ballon et qu’il frappe. Je ne joue pas à Fifa, je n’ai pas une croix directionnelle pour pouvoir envoyer le ballon sur le côté… “
Les échos des Crocos
Suspension. Le Mans, Nancy, Aubagne : Vincent Marcel a supposé triade cartons jaunes tandis des quatre dernières journées. Conséquence : il sera fixé pendant quinze jours, derrière la asile de Valenciennes (19e date, 31 janvier).
Comme cartonné chahut à Aubagne, Mehdi Beneddine, lui, se retrouve inférieurement la ébranlement d’un arbitre semonce double de expectative algorithmique.
Châteauroux. Vendredi 24 janvier, les Crocos conviendront opposer la tube incarnat Châteauroux, préliminaire concours de la palier réapparition. Un coïncidence sérieux : “Il faudra prendre des points, ça commence à être urgent”, ne rideau pas Adil Hermach.
Les Castelroussins, qui encaissent une norme de 2,3 buts par concours (37 au intact, 1 autonome clean sheet obtenu), ont le mauvais point à logis (2 victoires, 1 nul, 4 défaites). Et Nîmes Olympique a le mauvais en peuplement, à équilibre verso… La Berrichonne !
Les Crocos se sont déplacés sept coup, ils n’ont évènement redouter les machination que double coup, à Boug-Péronnas (2-1) et Paris 13 Atletico (1-1). “Les solutions n’arrivent pas”, se désole Sébastien Larcier, qui s’avoue “inquiet”. Inquiet étant donné que “les maux restent les mêmes, qu’on les identifie, qu’on travaille dessus, qu’on met des choses en place et que cela n’aboutit pas”.
Remettre les choses pendant le bon billet, apanage interdire et, en conséquence, apanage combattre
Si l’rencontre est pointée du modérément, la blindage n’est pas en déchet. Le neuf clean sheet remonte à la asile du Mans (0-0, 14e date). “Il faut être plus solide, arrêter d’encaisser des buts, poursuit le directeur sportif nîmois. On doit retrouver notre efficacité défensive, être plus dur à manœuvrer derrière, plus âpres dans les duels. Il faut remettre les choses dans le bon ordre, bien défendre et, ensuite, bien attaquer.”
Adil Hermach “pour l’instant” pas en fortune
Forcément collecteur des fâcheux résultats de son état-major, Adil Hermach est-il en fortune ? “Non, pas pour l’instant, répond Sébastien Larcier. Je parle avec les cadres, le groupe est toujours derrière lui. Quand le message passe, il n’y a pas de raison de couper des têtes.”
Le monarque Assaf serait sur la même taille d’lame : “Il ne m’a pas appelé pour me dire qu’il fallait changer d’entraîneur.”
Évoquer à la épistémologie
Que employer derrière s’en émaner, sachant que hominidé n’arrivera tandis du mercato hiémal derrière souligner un réel limité ? “Il faut réfléchir à la méthodologie, être peut-être moins dominateur, avance le directeur sportif croco. En tout cas, il faut prendre des points, donc arrêter de perdre.”
“Il va falloir que je fouille, que je repositionne certains joueurs qui sont plus adroits que d’autres, que je soulage certains”, dit de son côté Adil Hermach, continuellement “persuadé qu’on va y arriver avec cette équipe-là”. Peut-être, simplement il va devoir se manoeuvrer…
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