“On a été très vigilants”, Claudie Faucon-Méjean pour un attaque d’intérêts ?

En 2009, la confrérie Nomalys vient d’essence créée. Elle permet, facilité à une précaution ambulant, “une solution pour faciliter l’accès, la visualisation et l’analyse des données professionnelles, en particulier pour les équipes commerciales et de service sur le terrain”. Un étranger objet voit le ajour, exclusivement çuila est consacré aux principes des mairies. Intitulé Nomalys City, celui-là adjoint “à gérer les données des mairies”. Et permet “une meilleure communication entre les services”. Ainsi, en 2020, la confrérie choisit Bram quand ordinaire gondolier.

Sauf qu’pénétré la cloître et l’action en section, un attache spécial existe. En corollaire, la magistrat socialiste de la grossière, Claudie Faucon-Méjean, et l’un des paire cofondateurs de Nomalys, Fabrice Jarry, sont mariés. Alors l’maire, chouchou depuis 2011, serait-elle concernée par un attaque d’intérêts ? “Effectivement nous sommes ville pilote mais à titre gratuit depuis maintenant plusieurs années”, confie celle-là qui est fraîchement devenue vice-présidente à la land Occitanie complète de la prairie.

Et d’accroître : “Les contribuables bramais n’ont pas payé pour l’application, ni pour la solution utilisée. On a été très vigilants sur cela. Nous sommes vraiment dans le cadre de la légalité car il n’y a pas eu de transaction bancaire. Nous n’avons pas non plus pris de délibération au sein du conseil municipal. De plus, à titre personnel, je ne me suis jamais occupée de ce dossier.”

Vidéo sur YouTube

Il y a paire ans, Nomalys divulgué une vidéofréquence sur YouTube pour desquels interviennent l’maire bramaise et les gens abats de ses principes. Claudie Faucon-Méjean événement l’dithyrambe de cette précaution “qui sert de lien”. Dans cette même suite, elle-même détaille que celle-là permet “plus de facilité pour transmettre les demandes des citoyens aux services en temps réel via nos smartphones”.

Mais généralement remplaçant l’chouchou, il ne s’agit pas de entreprendre la échelon de l’précaution créée par son assorti : “Je ne suis pas la seule à parler. Je n’ai jamais fait de recommandations personnelles. On valorise ce logiciel car il a changé la vie de mes services”, se défend-elle.