Depuis des années, singulières têtes d’écriteau des Petits As de Tarbes (16-26 janvier) sont liées à l’palestre de Patrick Mouratoglou à Biot (Alpes-Maritimes). Visite d’un carrefour sauf syntaxe.
Stefanos Tsitsipas, Coco Gauff, Holger Rune, la opinion franco-russe Ksenia Efremova, les sœurs Linda et Brenda Fruhvirtova, ou plus Thijs Boogaard… Ces dernières années, ceux-ci qui brillent aux Petits As de Tarbes – le assaut où se donnent rancart les meilleurs jeunes (moins de 14 ans) de la monde – ont vigoureusement usuellement un bilan communn lorsqu’ils passent par les Pyrénées : ils sont couvés par la Mouratoglou Academy.
Celle de Patrick, chef hexagonal inoubliable sur le périple global – il a été singulièrement coupé de Serena Williams, s’occupe désormais de Naomi Osaka – et électrode au courant. Une palestre à son nom alors des antennes un peu universellement parmi le monde, une cordon de vêtements, une transmission preste : la griffe Mouratoglou se veut celle-là de l’nonce, parmi intégraux les domaines.
33 courts, épicentre médico-sportif et un héligare
Pour diligent une présage de ce que représente cette corps, cette apocryphe de champions, il faut se défrayer parmi les Alpes-Maritimes. À Biot surtout explicitement, “une cité provençale authentique”, réputée derrière le couches précis du morceau, son conservatoire Fernand Détaché, exclusivement en conséquence connue derrière réfugier une alinéa de Sophia-Antipolis, la “Silicon Valley française”.
Un emballage paradisiaque à nombreux encablures d’Antibes, favorable, en conséquence, au tennis. C’est ici qu’il y a huit ans, l’palestre de Patrick Mouratoglou, fondée en 1996, a décidé, subséquemment une début vie en commune parisienne, de s’barrer. Et pas qu’un peu : 33 courts de tennis en Monde traque ou dur laquelle 8 couverts, un épicentre médico-sportif de ébauchoir, des salles de gymnique, une cirque d’éducation physique, 4 piscines laquelle une en disposition de semelle, un spa, un boui-boui 4 étoiles, un routier… Bref, zéro n’a été laissé au particularité, réunion a été incident en prince. “Il y a même une zone d’atterrissage pour un hélicoptère, pour les joueurs pros qui veulent s’éviter les bouchons depuis Monaco”, indique le accompli des constats publiques du lieu.
“Si on peut sortir une ou un numéro mondial, c’est tant mieux”
Car oui, l’façade n’est pas qu’une “usine à champions” : il sert en conséquence de casernement de carcasse à singulières stars du périple. Le Russe Daniil Medvedev y a nombreux moralités, et donc de à nous fréquente, baptême décembre, c’est l’Ukrainienne Dayana Yastremska, 33e au disposition WTA, qui incarnait ordonné derrière copier ses gammes en vue de l’Open d’Australie alors son chef Mathis Di Maio, qui n’est contraire que le coordonnateur système de la base de Patrick Mouratoglou : Champ’seed (fruit de champions).
Cette dernière a derrière disposition de commencer au accoudoir, gestionnaire, de jeunes talentueux triés sur le mantelet laquelle les familles n’ont pas les croupe bien solides derrière se chiner de similaires formations. Les sœurs tchèques Fruhvirtova, qui ont gagné les Petits As l’une subséquemment l’contraire en 2019 et 2020 sont singulièrement issues de ce indicateur. “La sélection ne se fait pas avant les 10 ans, et on les suit jusqu’au Top 100 mondial”, indique Mathis Di Maio.
Si le tennis a la confiance d’caractère une adoration dispendieuse, c’est effectif. À la Mouratoglou Academy, inique les bénéficiaires de la base ou le indicateur à la reproduction “Team Elite”, la grand nombre des pensionnaires sont regroupés parmi ce qui est désigné le “tennis-études”. À civilisation une corps, alors horaires aménagés, de la 6e au bac fragmenté en quelques branches – une française, une internationale – qui regroupe 200 élèves et 45 nationalités. Compter 35 900 € l’période approprié derrière les école scolaires et de tennis, hormis annexer en note l’accueil (convaincu 14 750 et 25 000 € suivant les formules).
L’nonce a un récompense, certes, exclusivement les demandes sont nombreuses, amoureux expression. “Environ 4 000 par an, pour 60 places”, explicite Alexis Catillon, dirigeant du tennis-études.”La finalité du programme, c’est de réussir à les placer dans les universités américaines pour qu’ils continuent leurs études tout en jouant au tennis, poursuit-il. Si on peut sortir une ou un numéro un mondial, c’est tant mieux, mais nous, ce qu’on vise avant tout, c’est de faire de ces jeunes des « top » personnes, épanouies grâce au tennis.”
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